Avec la General Motors ou encore Volkswagen, le nom de Takata est entrée dans l’Histoire de l’automobile comme celui par qui le scandale est arrivé. Et pas qu’un peu. Déjà 28 millions de voitures rappelées de par le monde, de marques différentes, à cause de son airbag défectueux qui blesse gravement ou tue au lieu de protéger. C’est beaucoup. Mais le pire est encore à venir.
Annoncé en grande pompe en début de semaine, le nouvel examen du code de la route a livré ses premiers résultats. Avec ses questions inédites, ses thématiques jusque-là inconnues sans oublier des moyens matériels de dernier cri, politiques et professionnels attendaient le verdict. Et il est cinglant : alors que le taux de réussite à l’épreuve tournait jusque-là aux alentours de 70 %, on constate une hécatombe puisque le même taux n’arrive pas à se hisser à 17 %.
Les voitures autonome commenceront à se multiplier d’ici 5 ans, avec comme point fort la promesse d’une conduite apaisée et globalement nettement plus sûre qu’aujourd’hui. Une bonne nouvelle pour les usagers de la route, mais qui va forcer le secteur de l’assurance auto à se réinventer.
1 000 questions réparties en neuf nouveaux thèmes, ajout de la vidéo et examen individuel, voici les principaux changements du nouvel examen du code qui entre en vigueur aujourd’hui.
La compacte Baleno de la firme japonaise Suzuki est la première candidate à la nouvelle double notation EuroNCAP. L'auto reçoit avec ce barème un score différent en fonction de sa dotation. La version de base gagne 3 étoiles contre 4 pour celle qui profite d'un pack sécurité.
L’affaire, jugée à la Cour des Comptes (verdict prévu le 22 avril), ne fait aujourd’hui guère de bruit. Pourtant, tous les ingrédients sont réunis pour voir éclater un nouveau grand scandale : d’un côté, 40 millions d’euros dépensés à tort et à travers pour la refonte du système du permis de conduire, de l’autre, des marchés publics, toujours orchestrés par le ministère de l’Intérieur, passés dans des ambiances douteuses. Le meilleur reste sans doute à venir…
L'organisme indépendant spécialiste de la sécurité automobile EuroNCAP dresse le top 5 des autos les moins dangereuses en cas de choc avec un piéton. Le roadster Mazda MX-5 remporte la partie devant les BMW Z4, Infiniti Q30, Volvo V40 et Mazda CX-3.
Le rappel des 5 000 véhicules soupçonnés d’être toujours dangereux organisé par le ministère de l’Intérieur depuis septembre, est toujours en cours. Il n'y en a même qu'une moitié qui a été expertisée. Et déjà 40 % de ces autos sont considérées comme toujours dangereuses. Comment les propriétaires concernés doivent-ils se défendre ? Peut-on espérer que ce type d'escroquerie, mettant en danger la vie d'autrui, soit limité à ces seuls 5 000 véhicules rappelés ? Le procès qui doit se terminer ce vendredi matin à Évry, dans lequel un conducteur est poursuivi pour homicide involontaire prouve que le scandale est bien plus général qu'il n'y paraît. D'accusé après un accident mortel qui remonte à janvier 2014, le jeune homme en question devrait être reconnu victime. La Clio RS qu'il venait de s'offrir était tout simplement un ancien "véhicule endommagé" très très mal réparé… Et c'est bien ça qui aurait provoqué ce terrible accident. Pas sa conduite.
L’avènement d’une voiture autonome qui nous est promis dans carrément cinq ans ne va pas seulement changer notre manière de nous déplacer, d’appréhender la voiture, le monde économique et industriel de l’automobile. Il va aussi fatalement bouleverser les habitudes et les règles de circulation. Aussi, selon un groupe de chercheurs, l’engin bardé de capteurs et puces électroniques annonce la prochaine disparition d’un feu tricolore apparu en 1923. Et dont le centenaire n’est pas garanti.
Le phénomène de la non-assurance routière prend une ampleur préoccupante: d’après le Fonds de garantie des assurances obligatoires, jusqu’à 750 000 voitures seraient concernées en France. Mais des solutions au problème pourraient être mises en places dans les trois ans qui viennent.
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