C'est une grande nouveauté à venir pour les crash-tests aux Etats-Unis : la présence de mannequin à l'avant mais aussi à l'arrière. La démocratisation du covoiturage et des services à la mobilité comme Uber a incité la NHTSA, autorité américaine gérant ces crash-tests, de se pencher sur la sécurité pour les passagers arrière. On aurait presque envie de dire qu'il était temps.
Non, ce que vous avez sous les yeux n'est pas une photo d'un crash-test d'une muscle car de la fin des années 60, mais bien d'une auto de 2016. Il s'agit de la Dodge Challenger, qui affiche de très mauvais résultats, tandis que les Ford Mustang et Chevrolet Camaro font à peine mieux. La sécurité des sportives américaines a progressé mais il reste encore des efforts à faire. Heureusement, nous sommes loin des dégâts provoqués sur les autos de l'époque... Petit retour sur ce bout d'histoire.
Scandale des 5 000 véhicules dangereux : l'État bloque les cartes grises des autos non expertisées !
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Aux dires d'Emmanuel Barbe, délégué interministériel à la Sécurité routière, les propriétaires qui n'ont toujours pas fait expertiser leur véhicule soupçonné d'être toujours dangereux vont voir leur carte grise bloquée en préfectures, dès cette fin de semaine. Du coup, ils n'auront plus le droit de circuler avec. C'est en tout cas ce qu'a répondu Emmanuel Barbe à Caradisiac lors de la présentation du bilan routier 2015, mercredi.
L'affaire est troublante. Ce n'est pas la première fois que les radars automatiques sont pris en faute : des voiturettes, des tracteurs pris à des vitesses impossibles, ça s'est déjà vu. Sauf qu'il ne s'agit là aucunement d'une erreur isolée : la cabine d'Ambérieu-en-Bugey (01) flashe à tort depuis au moins 2011. Et l'État est au courant depuis au moins 2013 ! Malgré tout, les PV continuent d'être dressés et envoyés. Comment est-ce possible ? Quel est le problème avec ce radar fixe ? Est-il le seul concerné ? Autant de questions qui restent pour l'heure sans réponse.
Après le tollé provoqué par l’initiative l’an dernier, on croyait l’affaire enterrée. Mais pas du tout. Les députés l’ont remise au goût du jour ce qui risque d’être peu au goût des associations luttant contre la violence routière. De quoi s’agit-il ? Du principe d'amendes forfaitaires pour sanctionner les délits de conduite sans permis et de conduite sans assurance. Qui vient d’être remis sous la lumière des projecteurs par la représentation nationale.
Avec la General Motors ou encore Volkswagen, le nom de Takata est entrée dans l’Histoire de l’automobile comme celui par qui le scandale est arrivé. Et pas qu’un peu. Déjà 28 millions de voitures rappelées de par le monde, de marques différentes, à cause de son airbag défectueux qui blesse gravement ou tue au lieu de protéger. C’est beaucoup. Mais le pire est encore à venir.
Annoncé en grande pompe en début de semaine, le nouvel examen du code de la route a livré ses premiers résultats. Avec ses questions inédites, ses thématiques jusque-là inconnues sans oublier des moyens matériels de dernier cri, politiques et professionnels attendaient le verdict. Et il est cinglant : alors que le taux de réussite à l’épreuve tournait jusque-là aux alentours de 70 %, on constate une hécatombe puisque le même taux n’arrive pas à se hisser à 17 %.
Les voitures autonome commenceront à se multiplier d’ici 5 ans, avec comme point fort la promesse d’une conduite apaisée et globalement nettement plus sûre qu’aujourd’hui. Une bonne nouvelle pour les usagers de la route, mais qui va forcer le secteur de l’assurance auto à se réinventer.
1 000 questions réparties en neuf nouveaux thèmes, ajout de la vidéo et examen individuel, voici les principaux changements du nouvel examen du code qui entre en vigueur aujourd’hui.
La compacte Baleno de la firme japonaise Suzuki est la première candidate à la nouvelle double notation EuroNCAP. L'auto reçoit avec ce barème un score différent en fonction de sa dotation. La version de base gagne 3 étoiles contre 4 pour celle qui profite d'un pack sécurité.
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