La puce reprend les mécaniques essence bien connues du groupe, avec en tête de gondole le petit 1.4 Twinport de 87 ch. Ce petit moteur qui évolue également sous le capot de la Corsa est parfaitement adapté à l’usage urbain. Discret et tonique, il mène la petite allemande sans jamais être pris en défaut. Sa sobriété est toute relative avec une conso moyenne de 6,5 l /100 km, mais il présente l’avantage d’être exempté de malus (119 g de CO2/km). A ses côtés, Opel propose un petit 1.2 et une version plus puissante de 100 ch (1.4), en attendant l’arrivée d’un petit 3 cylindres l’an prochain. Pas de boîte automatique prévue pour le moment. Quant à une motorisation diesel, Opel n’y songe même pas.
Arrivé bon dernier sur le marché (très actif) de la citadine chic, Opel a pu piocher les points forts de ses concurrents pour en tirer une synthèse très homogène. Ainsi les voies élargies avec les roues disposées aux quatre coins façon Mini permettent à l’allemande d’être parfaitement campée sur la route. L’Adam colle au pavé comme une Mini, le confort en plus. Même chaussée en 18’’, la petite n’aura pas eu raison de nos lombaires. A ceci, Opel a ajouté les éléments essentiels d’une citadine moderne comme un diamètre de braquage réduit (9,80 m), un empattement court et une fonction city sur la direction pour faciliter les manœuvres. En résulte une agilité de félin et une légèreté au volant très appréciée par la gent féminine. En somme, l’Adam est aussi plaisante à conduire en ville que sur route. Un véritable coup de cœur qui n’a selon nous strictement rien à envier aux italiennes, aux françaises et aux britanniques.
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