La gamme se décline en 4 finitions, contre trois précédemment (hors TS). L’Active constitue l’entrée de gamme et devrait séduire 10 % de la clientèle, la Dynamic constituera le cœur de gamme en captant la moitié des ventes.
Puis viennent deux niveaux supérieurs : Style prioritairement destiné à une clientèle jeune ou Lounge (haut de gamme). Au rayon des nouveautés, on notera l’apparition d’un grand toit panoramique vitré avec stores à enrouleur avant et arrière en option à 450 €.
Rapport équipements/prix et prestations de série relevés
Un des points forts de la nouvelle Yaris est certainement une offre multimédia à prix abordable, scindée en deux. Le Toyota Touch d’abord, système multimédia à écran tactile qui intègre le Bluetooth et l’affichage de la caméra de recul, de série dès le deuxième niveau de finition Dynamic.
Dommage, la prise USB se planque au fond de la boîte à gants. Ensuite, pour répondre aux attentes d’une clientèle “branchée nouvelles technologies” et vite angoissée dès qu’elle n’est plus connectée, le Toyota Touch & Go, en option sur les finitions Dynamic, Style et Lounge. Pour 600 euros, cette option comprend un GPS Europe avec info trafic, indication des limitations de vitesse et des radars fixes. Elle permet aussi de se greffer sur Google Maps, afficher les SMS ou se connecter à Facebook. Pour profiter de ces fonctions, il faut un téléphone compatible et prendre une option modem chez son opérateur, qui coûtera entre 2 et 25 € selon la conso de Mo choisie (5 €mois chez Orange pour 50 Mo).
Que l’on considère le rapport prix/équipement ou le rapport prix/prestations, la nouvelle Yaris progresse à peine par rapport à la précédente, et sa compétitivité se situe toujours dans la moyenne, avec toutes les motorisations.
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