
Toutes les voitures hybrides rechargeables du marché en 2025
Aujourd’hui, 1er juillet 2015, entre en vigueur toute une série de mesures majoritairement répressives pour les automobilistes : porter une oreillette bluetooth, fumer à bord, se maquiller, manger un sandwich ou écouter de la musique trop fort sera désormais soumis à des amendes.
Les données de la sécurité routière sont souvent mauvaises lorsqu'il s'agit des jeunes, la fameuse tranche des 18-25 ans qui est responsable d'une partie non négligeable des accidents. Il y a bien des raisons à cela, et l'étude réalisée par « le jeune conducteur » le prouve : 81 % des jeunes envoient des SMS au volant et presque un sur deux a déjà conduit en étant alcoolisé.
Les adeptes du téléphone au volant vont devoir vite s'équiper s'ils ne veulent pas courir le risque de se prendre une prune à 135 euros et un retrait de trois points sur leur permis ! Dans moins de quinze jours, attention, l'oreillette sera interdite, et il n'y aura pas de temps d'adaptation : les sanctions débuteront dans la foulée. Caradisiac vous présente ainsi les équipements qui resteront autorisés et ceux qui deviennent illégaux. Quant aux jeunes permis, qu'ils se le disent, boire ou conduire, il faudra vraiment choisir !
La « dépénalisation » du stationnement, qui entrainera la disparition de l'amende unique à 17 € l'an prochain, est une réforme qui va bouleverser les droits des usagers. C'est une toute nouvelle procédure avec une toute nouvelle juridiction qui est appelée à se mettre en place pour gérer les futures contestations. Présentation.
Le gouvernement veut en finir avec un mille feuilles administratif qui serait issu d'une recette bien Française. Cerise du le gâteau, le permis de conduire fait partie d'un plan global qui veut provoquer un choc de simplification qui mettrait au régime sec un système victime de sa boulimie de papiers. Pour que la pâte prenne, il y a même un secrétaire d'Etat qui est au fourneau. Un Thierry Mandon qui présente aujourd'hui une nouvelle série de mesures. Alors, l'avènement d'un permis de conduire dématérialisé pour tous ? Loin s'en faut.
On croyait tout savoir sur la réforme d'un permis de conduire dont l'obtention doit être plus court et moins onéreux. Peut-être que les nouvelles dispositions concernant la formation permettra cette embellie, mais on découvre que ce ne sera pas sans contre-partie. Car le précieux sésame ne sera alors que provisoire et sa précarité deviendra une bien triste réalité si le jeune permis ne passe sous les fourches caudines de nouveaux examens les mois suivants...
Selon le Conseil national de la Sécurité routière (CNSR)*, entre 10 % et 15 % des flashs de radars en France concernent des voitures de société, dont les conducteurs ne seraient pas sanctionnés en totalité. Pour faire court, les amendes (dès le tarif minoré, soit 45 € pour un excès de moins de 20 km/h) seraient réglées, mais sans dénonciation des responsables de ces dépassements, le retrait de point(s) serait évité. Une impunité à laquelle le CNSR a décidé de s'attaquer.
Dans une ambiance générale de circulation des biens et des personnes pour le moins détendue dans l'espace européen, c'est une décision étonnante qui a été rendue par la Cour de justice de l'Union européenne. Car elle se veut plus
Dans le cadre du contrôle automatisé, il y a plusieurs types de radars automatiques : des radars de vitesse, des radars feux rouges et des radars passages à niveau. Qu'est-ce que cela change ? A part la nature de l'infraction, pas grand-chose juridiquement parlant... Les radars de vitesse comme leur nom l'indique repèrent les excès de vitesse, les feux rouges, eux, les franchissements illicites aux feux tricolores, et les passages à niveau ceux aux barrières ferroviaires. Pour ces différents types de radars, ce sont les photos qu'ils prennent qui sont à la base des poursuites. Zoom sur les radars passages à niveau, sans doute les moins connus de tout ce parc d'automates.
Le commun des mortels en est convaincu depuis longtemps. Il n'y a rien d'infaillible dans le traitement électronique d'une activité. Qu'importe sa nature, celle-ci s'en trouve certes facilités dans son exécution et son vécu, mais n'élimine en rien le risque d'erreur. Or, lorsque celle-ci touche directement le portefeuille du citoyen et le permis de conduire du contribuable, l'affaire mérite que l'on s'y penche un tantinet. Car même exceptionnels, ces bugs peuvent changer une vie et atteindre des droits. Et c'est bien à cette aune qu'est mise sur la sellette une procédure de PV électronique qui peut inquiéter.
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