
En Dordogne, un homme pris de folie a volé une pelle d'une quinzaine de tonnes avec laquelle il a causé de nombreux dégâts, écrabouillant notamment un véhicule de la Gendarmerie.
En Dordogne, un homme pris de folie a volé une pelle d'une quinzaine de tonnes avec laquelle il a causé de nombreux dégâts, écrabouillant notamment un véhicule de la Gendarmerie.
La gendarmerie de l'Aude a pu tester une Alpine A110 un peu spéciale, visiblement équipée pour être intégrée à la BRI (brigade rapide d'intervention). Les gendarmes ont toutefois rendu (tristement) les clés pour une histoire de consommation de carburant un peu trop élevée.
Les gendarmes du peloton motorisé d'Agen ont intercepté un rallye de type Cannonball, avec des conducteurs Français. Six véhicules ont été flashés, jusqu'à 202 km/h.
Alerte à la non-assurance ! Ce jeudi sont rendues publiques les statistiques annuelles du Fonds de garantie des Assurances Obligatoires, qui mettent en évidence une forte augmentation des montants indemnisés au titre des préjudices corporels. L'organisme pointe l'émergence d'un vrai phénomène de délinquance.
Pendant que les gendarmes s'occupaient de ce conducteur très pressé, un autre a attiré l'attention des militaires en klaxonnant. Une bien mauvaise idée !
C’est un coup porté à un trafic qui est hélas toujours d’actualité. Il s’agit de celui des véhicules volés. Une activité qui demande une organisation bien huilée et des ramifications à tous les étages. Autant d’éléments qui obligent à des enquêtes d’envergure. Celle-ci a abouti. La section de recherches de Limoges a ainsi démantelé un important trafic de véhicules volés à l’échelon national dont l’épicentre est le Limousin.
Pour signer des papiers, un homme est allé voir les gendarmes avec son cheval, laissant l'animal devant le portail.
Le porte-parole du gouvernement a fait savoir que Ford pourrait ne plus être retenu dans les marchés publics suite à l'annonce de la fermeture de l'usine de Blanquefort.
C’est une polémique qui en dit long sur l’ambiance actuelle. Une conjoncture tendue où tout le monde se regarde en chiens de faïence. La moindre incompréhension peut mal tourner et cette théorie du complot venu des péages des autoroutes sarthoises en est un exemple. Samedi 1er et dimanche 2 décembre, dans des péages, occupées ou non par les gilets jaunes, des gendarmes empêchaient les voitures de sortir du grand ruban. L’idée de travailler au profit de la société concessionnaire pour faire payer plus cher un trajet rendu plus long aux usagers s’est alors répandue…
Certains sont pressés sur la route. D'autres sont pressés de prendre la route. Par exemple cet adolescent de 15 ans qui a été interpellé pour la troisième fois au volant !
SPONSORISE