La polémique née après les essais pneumatiques Pirelli organisés dans la foulée du Grand Prix d'Espagne avec l'équipe Mercedes (qui a gagné ensuite à Monaco) ne cesse de s'étoffer et prend ici un tournant étonnant. En effet, la FIA sommé par les équipes Red Bull et Ferrari d'éclaircir l'affaire a entrepris de convoquer Mercedes ainsi qu'une autre équipe ayant bénéficié elle aussi d'une séance de test avec Pirelli : en l'occurrence Ferrari !
Le monde de la Formule 1 est en ébullition. Du côté des pneumatiques c’est la surchauffe, Pirelli ayant même ouvertement envisagé son départ à l’issue de la saison 2013 alors qu’aucun autre manufacturier ne semble candidat à la succession, à moins le coréen Hankook… Du côté des motoristes c’est également le branle-bas de combat !
Accidents durant les essais libres, accrochage lors de la course avec Daniel Ricciardo qui lui vaut une suspension de 10 places pour le prochain Grand Prix du Canada. Bref, un week-end à oublier pour le pilote français. De nouveau sous le feu des critiques après son Grand Prix de Monaco raté, Romain Grosjean pourrait-il perdre sa place au sein de l'écurie Lotus ?
Si vous suivez la F1 de près, vous êtes au courant de la polémique du moment qui remet en cause la victoire de Nico Rosberg à Monaco. En effet, après le dernier Grand Prix d'Espagne, Pirelli a convié la seule équipe Mercedes à une séance d'essai de pneumatiques après avoir demandé l'autorisation à la FIA. Problème, Pirelli a « oublié » de convier d'autres équipes qui se rebellent et demandent des explications à la FIA.
Suite à l'annonce la semaine dernière de Pirelli de modifier les gommes utilisées jusqu'ici par les écuries, à partir du Grand Prix du Canada, le 9 juin prochain, la Fédération Internationale de l'Automobile (FIA) demande au manufacturier
Si vous êtes un fervent adepte de la F1 depuis plus de 2 ans, vous vous rappelez sans doute qu'au début de sa première saison, Richard Branson, patron de l'équipe Virgin (devenue Marussia), avait parié avec Tony Fernandes, patron de l'équipe Caterham (alors Lotus F1), que si son team ne terminait pas devant au classement général, il s'engagerait comme hôtesse de l'air dans la compagnie aérienne Air Asia appartenant à son rival. En fin d'année, son équipe termine 12e et Lotus F1, 10e, le pari fut donc perdu et, 2 ans après, Richard Branson a finalement tenu promesse.
Michael Schumacher qui a dû mettre une deuxième fois un terme à sa carrière en F1 a tout de même signé un contrat d'ambassadeur de la marque Mercedes pour laquelle il a effectué ses dernières saisons. Le 19 mai prochain, le septuple champion du monde effectuera un tour complet de la boucle nord du Nürburgring au volant d'une F1 W02 de 2011. Un événement rare.
Les rumeurs vont aujourd’hui bon train dans le milieu de la Formule 1. Et si Toyota revenait, déjà ?
On le sait, la Formule 1 sur TF1 – et ses coupures publicitaires en plein Grand Prix – c’est terminé. A partir de cette saison 2013, pour suivre les GP de F1 en France, il faudra disposer d’un abonnement à Canal+ d’un montant de 39,90 euros par mois (24,90 euros la première année). Alors, comment faire dorénavant pour suivre les GP de F1 sur un média de grande diffusion ?
Il en est à présent ainsi dans les médias. Le sport, dans sa généralité, n'est plus rentable pour des chaînes d'accès gratuit pour le téléspectateur. Autrefois incontournable car vecteur d'image pour la chaîne, il a perdu sa virginité et sa candeur pour s'installer sur les supports payants. En 2013, il faudra se payer un abonnement à Canal + pour voir la Formule 1. C'est la « premiumisation » mon bon Monsieur. Explication :
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