En théorie, les mobiles-mobiles peuvent aussi être utilisés à l'arrêt, sur le bord des routes. Sauf que s'ils finissent par être conduits par des privés, ceux-ci ne seront pas habilités à procéder à leur installation. Du coup, ils ne serviront plus qu'en roulant. Et, en mouvement, comme à l'arrêt, ces radars "sont autorisés à se tromper" d'autant, soit de plus ou moins 10 km/h ou de plus ou moins 10 % en fonction des vitesses des véhicules contrôlés. Des "Erreurs Maximales Tolérées" (EMT), qui n'ont rien à voir avec une quelconque marge de tolérance ! Mieux vaut le répéter… Vous avez une question concernant vos droits par rapport à un PV, votre assurance ou tout autre sujet lié à votre véhicule, demandez notre avis, Caradisiac vous répond dans sa rubrique "Vos questions – Nos réponses". Avec la collaboration de Maître Caroline Tichit, avocate spécialisée dans la défense des conducteurs.
Le principe est simple : on paye chaque mois une somme qui permet de choisir le modèle que l'on souhaite avoir et surtout de pouvoir changer régulièrement. L'entretien et l'assurance sont inclus. C'est un peu comme un abonnement à Netflix !
Interview exclusive – Voitures-radar conduites par des privés : le ministère répond à nos questions (vidéo)
, mis à jour 40
Lors de leur présentation à Évreux (Eure) la semaine dernière, Caradisiac est monté à bord de ces nouveaux mobiles-mobiles en compagnie du délégué interministériel à la Sécurité routière. Un moment propice pour engager la discussion… Mais Emmanuel Barbe n'avait, semble-t-il, aucune envie de répondre à certaines de nos questions. Voici notre interview dans son intégralité.
Le poste budgétaire dédié à l’automobile est en passe de devenir un véritable crève-cœur. C’est du moins ce qui ressort d’une étude menée par l’enseigne financière Fortuneo qui s’est penchée sur l’évolution des prix à la consommation depuis dix ans. À partir de là, elle a sectorisé les dépenses faites par les ménages. Pour une révélation inquiétante : les dépenses liées à la maintenance automobile ont bondi de 42 %.
Il n’a échappé à personne que le tarif du litre du carburant à la pompe est reparti à la hausse. De quoi, a priori, satisfaire les professionnels du secteur qui voient leurs marges grandir et les sous rentrés. Une fausse idée. L'Union française des industries pétrolières (Ufip) a décidé de le rappeler avec force dans un communiqué qui s’inquiète de cette inflation. Enfin, plus exactement, qui dénonce l'augmentation de la fiscalité sur les carburants en France. Ce qui n’est pas exactement pareil.
L’année 2017 avait commencé sous ces tristes auspices et elle se poursuit avec la même tendance noire, comme ce pétrole qui nous fait payer sa facture au moemnt du plein. Les prix à la pompe en France sont ainsi significativement orientés à la hausse et ce n’est pas un baril, à présent à 54,45 dollars, qui va calmer les choses. C’est le prix le plus haut depuis mi-2015.
Même si les nouvelles voitures-radar paraissent pouvoir contrôler la vitesse en toute autonomie - sans intervention d'un éventuel copilote, ni du chauffeur - les véhicules croisés en circulation, il n'en reste pas moins que la privatisation de leur conduite soulève bien des interrogations. Et leur présentation ce vendredi à la presse n'a pas permis de nous rassurer complètement.
Les bonnes nouvelles semblent se succéder dans le groupe automobile français PSA. L’Iran est revenu dans la course économique et favorise les activités du lion chevronné qui lorgne sur les concessions européennes d’une General Motors qui bat en retraite. Une démarche qui porte ses fruits tandis qu’une proposition a été faite au malaisien Proton. Mais ce n’est pas fini. PSA annonce à présent un bond de 79 % de son bénéfice net.
Le japonais propose à des groupes de 2 à 5 personnes de partager une nouvelle Micra. Chacun paiera en fonction de son utilisation de la voiture.
À la suite de la publication la semaine dernière du droit de réponse du délégué interministériel à la Sécurité routière qui entendait réagir à notre article du 11 janvier, les lecteurs de Caradisiac nous réclament de nouvelles explications pour justifier le maintien de nos informations. Voici notre argumentaire point par point.
Rechercher par sous-rubrique dans Pratique