
Autrefois, on voulait une voiture en faisant une effraction. Avec l’avènement de l’électronique, on a cru dans un premier temps que le moment de la sécurité absolue était venu. Tout faux, et c’est même le contraire. Au point qu’un nouveau type de mode opératoire a fait florès : le « mouse-jacking ». Un piratage électronique qui pose d’autant plus question qu’il inquiète sur certains professionnels, complices quand ils ne sont pas auteurs. Dernier exemple en date, dans le Gard.