Cette semaine il faudra avoir une pensée particulière pour tous les professionnels impliqués dans services de l’automobile et de la mobilité. Un secteur qui a décidé de se mettre en valeur du 11 au 18 mars pour mieux se faire connaître mais aussi reconnaître. Car l’époque n’est pas tendre pour une catégorie à la probité parfois malmenée et souvent la cible de polémiques quand il n’est pas cloué au pilori par l’écologie punitive. Il faut donc rééquilibrer le débat et montrer que l’on est tout aussi innovant, jeune et dynamique que n’importe qui d’autre.
Le poste budgétaire dédié à l’automobile est en passe de devenir un véritable crève-cœur. C’est du moins ce qui ressort d’une étude menée par l’enseigne financière Fortuneo qui s’est penchée sur l’évolution des prix à la consommation depuis dix ans. À partir de là, elle a sectorisé les dépenses faites par les ménages. Pour une révélation inquiétante : les dépenses liées à la maintenance automobile ont bondi de 42 %.
Il n’a échappé à personne que le tarif du litre du carburant à la pompe est reparti à la hausse. De quoi, a priori, satisfaire les professionnels du secteur qui voient leurs marges grandir et les sous rentrés. Une fausse idée. L'Union française des industries pétrolières (Ufip) a décidé de le rappeler avec force dans un communiqué qui s’inquiète de cette inflation. Enfin, plus exactement, qui dénonce l'augmentation de la fiscalité sur les carburants en France. Ce qui n’est pas exactement pareil.
La gendarmerie voulait le Hummer mais le juge n’était pas de cette humeur. Voilà qu’elle pourrait être l’épilogue de cette histoire relevant de la police de la route et qui a débuté début janvier du côté de Reims. Une année mal engagée pour un automobiliste qui s’était offert un Hummer type H2. Problème : il n’avait plus son permis de conduire.
L’Alpine A110 sera l’une des nouveautés les plus scrutées par les visiteurs du salon de Genève. Caradisiac vous donne rendez-vous mercredi pour la découvrir de près sur le stand. Mais nous l'avions découverte en exclusivité il y a quelques semaines. Cette vidéo exclusive est à découverte aussi.
Il n’y a pas si longtemps, les constructeurs cherchaient à mettre dans leurs modèles une philosophie propre à leur histoire et à leur entreprise, et cela passait par une mélodie à l’échappement, une recherche singulière de la puissance, une finition identitaire, des courbes particulières. Aujourd’hui, les mêmes doivent concentrer leurs ressources pour arriver à une seule fin : réduire les émissions de CO2, un Graal imposé par un contexte réglementaire qui a vocation à s’endurcir avec le temps.
Le syndrome Fast and Furious ne se limite pas sous des latitudes chaudes de préférence de l’autre côté de l’Atlantique. On le retrouve aussi en France et même sous la pluie de la Haute Garonne. Sauf que là, c’est sur route ouverte que les défis routiers se relèvent. De quoi inquiéter mais les gendarmes toulousains sont sur le coup.
Dis-moi qui tu es et je t’offre ton contrôle technique. À combien estimez-vous votre confidentialité ? Pour une start-up clermontoise, elle ne vaut pas plus de 70 euros soit le prix d’un contrôle technique. Elle se propose donc de vous l’offrir en échange de renseignements sur votre personne. Et si vous êtes un tantinet prude, la même société vous laisse l’opportunité de l’effeuillage. Plus vous vous mettez à nu et plus vous tendrez vers la gratuité du contrôle. Un strip-tease d’un nouveau genre.
La part de marché du véhicule électrique monte en puissance en France et cette opportunité tombe pile au moment où l’on nous incite à rouler propre. Fin 2016, on comptait dans notre verte contrée environ 93 000 véhicules électriques en circulation, soit 0,2 % du parc automobile total. Pas de quoi disjoncter me direz-vous, mais l’emprise de la voiture à batterie ne fera que se renforcer. Seul frein, le rayon d’action et donc les bornes de recharge. Mais là aussi, le courant passe de mieux en mieux.
Le débat sur le contrôle technique des véhicules considérés comme anciens c’est un peu un pas en avant et deux pas en arrière. Ainsi, au moment où un décret exempt de l’examen les engins de collection d’avant 1960, voilà que l’on reparle d’une visite annuelle pour les voitures de plus de dix ans au lieu des deux ans actuels. Une idée qui n’est pas nouvelle et qui est même voulue par l’Europe.