2. Mazda 2 Hybride (2024) - Sur la route : bonnet blanc et blanc bonnet !
Sous le capot, on retrouve évidemment la mécanique de la Yaris dans sa version la moins puissante puisque seule la version 116 chevaux est disponible sur la seule Mazda produite en France (jusqu'à 130 ch chez Toyota). Globalement, l’ensemble s’avère déjà suffisant au quotidien : à aucun moment, il ne donne l’impression de manquer de puissance, y compris sur voies rapides.
Et surtout, il se montre très doux, avec des phases de roulage en tout électrique nombreuses à basses vitesses, gage d’une conduite zen. Mieux, le régime du moteur thermique évoluant en continu en fonction des besoins en puissance, aucun à-coup de transmission à craindre en mode hybride. Toutes les rivales ne peuvent pas en dire autant… Seul grief : le trois cylindres est toujours un peu présent et grondant. Cela posé, sa sonorité est moins stridente à haut régime que celle du quatre cylindres de la Clio électrifiée.
Sobre mais pas toujours confortable…
Côté comportement routier, rien de bien passionnant : faute de réglages spécifiques par rapport à la Yaris, on retrouve un comportement volontaire mais en aucun cas agile. Ceci dit, on ne demande pas à une citadine "verte" un comportement dynamique mais plutôt des consommations basses. D'ailleurs, nous ne sommes toujours pas déçus à la pompe puisqu'il faut compter, dans la vraie vie, entre 4 et 5 l/100 km en ville et sur départementale, légèrement plus sur voies rapides.
En revanche, quelques retouches côté amortissement auraient été les bienvenues : certes, la citadine reste montée souple, mais quelques trépidations et mouvements amples peuvent venir perturber la quiétude des passagers. On reprochera également à la Mazda 2 hybride, comme à la Yaris d'ailleurs, de trop laisser passer les bruits d'air et de roulement…
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