Faire du duo sur un roadster, dans l’esprit collectif motard, c’est souvent synonyme d’inconfort et d’une part d’inconscience de la part d’un passager. Surtout avec les modèles de ces dernières années ou la selle arrière fait plus l’objet d’une décoration qu’autre chose. Et pourtant l’ER6 permettait le duo d’une manière un peu plus sereine avec l’ajout de vraies poignées passager. Sur le Z 650, c’est terminé, plus de poignées mais une simple lanière et une selle plus petite due à la compacité de la moto. Alors pourquoi un essai en duo ? Parce que chez Caradisiac on n’aime pas l’expression « fontaine je ne boirai jamais de ton eau. »
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Le plus surprenant quand on a l’habitude avec des gros gabarits, c’est de passer sur un roadster middle-size, mais encore plus quand ce dernier fait partie des petites tailles de la catégorie. Une aubaine pour les débutants et un vrai jouet en perspective pour les motards confirmés. Bienvenue dans le monde de la polyvalence selon Kawasaki.
Annoncée comme l’héritière de l’ER-6n, Kawasaki a lancé les paris sur l’avenir avec cette nouvelle Z 650. Et il faut un sacré brin de folie pour remettre en cause la quasi-totalité de celle qui s’est vendue à 121 161 unités depuis 2005 et surtout de ne même pas garder son nom. La marque a tout de même retravaillé la base du bicylindre de 649 cm3 en lui faisant gagner 4 chevaux et fait une cure d’amaigrissement de 19 kilos.
Quand Kawasaki décide de faire évoluer du tout au tout l’un de ses best-sellers, c’est un pari risqué. Mais en plus lui changer son nom, on peut largement penser que c’est un peu de l’inconscience Après 11 ans de service et 121 161 unités vendues depuis 2005, l’ER-6 passe les armes et devient le Z 650. Mais sous cette nouvelle appellation se cache aussi une nouvelle philosophie que la marque verte veut pour sa clientèle.
Exercice de style ou moto à part entière ? Il nous tardait de trancher le cas MGX21. Alors, la « Forteresse Volante », adaptée pour la route ou plutôt bête de salon ? Une petite balade aux portes du Vexin et nous voici en mesure de vous livrer notre verdict : pour l'apprécier, il faut rouler !
La V7, c’est un peu cette copine italienne que l’on connaît depuis de longues années. Celle qui nous raconte ses histoires et que l’on trouve mignonne, sans savoir si l’on craquerait vraiment pour elle. Sans oser. Voilà presque 10 ans que l’on se connaît et nous la retrouvons aujourd’hui plus rayonnante que jamais. Alors, prêts à sauter le pas ?
En France c'est la famille Sportster qui remporte le podium des motos les plus vendues par Harley Davidson. Mais aux USA, la donne est très différente, celle qui représente le tiers des ventes chez l'oncle Sam, c'est la Street Glide. Un Bagger affiché en France à 26 910 euros.
Et pourquoi pas un Trail pour commencer sa vie de motard après le permis A2 ? Il n'y a pas que les roadsters dans la vie d'un débutant. Et pour éviter toutes les contrariétés d'un bridage sur une grosse cylindrée tout en conservant un gabarit digne de ce nom, Kawasaki propose pour ce début de saison un Trail version 300 cm3.
Il y a 3 ans, Harley-Davidson prenait le pari de l'accessibilité et proposait sur le marché une nouvelle machine destinée à un usage plutôt urbain et dévolue à un plus large public. L'objectif ? Rendre possible l'achat d'une Harley à petit prix.
Révélée en toute discrétion lors du salon Intermot de Cologne, l'Aprilia Tuono 125 fait une apparition remarquée au sein de la gamme italienne. En réalité, il faut parler d'un retour aux sources dix ans après la disparition de l'ancienne génération, qui, à l'époque était propulsée par une motorisation 2-temps.
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