3. Equipement : une dotation riche mais chère
Lorsque nous terminions notre essai, Audi n’avait pas encore dévoilé entièrement la gamme de sa nouvelle A1. Seul le premier prix est pour l’instant connu : 23 470 euros pour la version 30 TFSI dotée du trois-cylindres 1.0 de 116 ch. Un tarif haut perché qui oblige à prendre le deuxième niveau de finition incluant le régulateur de vitesse, la caméra de recul, les feux arrière à LED et les jantes en alliage de 16 pouces.
La gamme comptera 4 niveaux de finitions : A1, Design, S Line et Design Luxe. À bord de notre A1, profitions de la climatisation automatique bi-zone, du configurateur de conduite Drive Select et les phares à LED. Pour profiter de certains raffinements, il faudra franchement alourdir la facture : 2 345 euros pour le GPS sur écran de 10 pouces et le virtual Cockpit, 600 euros pour le régulateur de vitesse adaptatif, 400 euros pour le démarrage sans clé et 340 pour les sièges avant chauffant. Équipée comme une grande, notre Audi A1 est ainsi facturée aux alentours de 35 000 euros (estimations). Un tarif costaud donc, sans compter les malus, encore inconnus pour les autres moteurs.
Le point high-tech : une interface moderne
La chère interface numérique de la nouvelle A1 impressionne. Seule la Polo propose pour le moment un tableau de bord virtuel dans la catégorie. Il est un peu moins évolué que celui de l’A1 et surtout, la petite Audi pour bénéficier de l’écran tactile central issu de l’A8 ! Superbe, à la résolution poussée, très réactif et facile à utiliser, il en jette à bord d’une petite voiture. Il permet d’accéder à toutes les fonctionnalités de la voiture, les réglages et aux services connectés et propose bien évidemment la compatibilité smartphone Android Auto et Apple CarPlay.
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