Par JimmyNeutron
Oui, pareil qu'au-dessus, toujours lu que l'usinage dans la masse etait le plus fiable.
Porsche fait gagner des chevaux à sa 911 avec des pistons en impression 3D
Déposer un commentaire
Par JimmyNeutron
Oui, pareil qu'au-dessus, toujours lu que l'usinage dans la masse etait le plus fiable.
Par Altrico
Combien de temps à imprimer? C'est bon pour la petite série.
Par §Exp502vb
Je ne connais aucune imprimante 3D qui n‘impose pas une reprise en usinage. Aucun imprimante n‘est capable d‘une précision de 10 microns, ne serait-ce à cause du retrait.
Je pense donc que ces pistons sont repris en usinage.
Par contre l‘impression 3D permet des formes dans la masse impossibles à faire avec les procédés classiques, d’où une meilleure rigidité et par levier une optimisation du poids ainsi qu‘une meilleure intégration des périphériques.
Par Lycanthr0pe
En réponse à JimmyNeutron
Oui, pareil qu'au-dessus, toujours lu que l'usinage dans la masse etait le plus fiable.
Quand on ne connaît qu'une forme d'usinage, c'est forcément la meilleure, surtout comparée à celle qu'on ne connaît pas encore...
Par Lycanthr0pe
En réponse à §Exp502vb
Je ne connais aucune imprimante 3D qui n‘impose pas une reprise en usinage. Aucun imprimante n‘est capable d‘une précision de 10 microns, ne serait-ce à cause du retrait.
Je pense donc que ces pistons sont repris en usinage.
Par contre l‘impression 3D permet des formes dans la masse impossibles à faire avec les procédés classiques, d’où une meilleure rigidité et par levier une optimisation du poids ainsi qu‘une meilleure intégration des périphériques.
Là c'est le principe du SLS, donc du laser dans de la poudre de métal et c'est du 50 microns, peut-être que ça a même évolué depuis mes dernières infos.
On a besoin quelle tolérance sur des pistons ?
Là ce qui est avancé, ce sont le poids et les formes particulières.
Plus que ces performances, c'est la reproductibilité qui est importante.
Après, s'il faut un coup de rectifieuse et / ou traitement de surface, c'est peanuts. Ils n'ont d'ailleurs pas dit que ça partait direct de la sortie de l'imprimante au montage...
Quant au temps d'usinage, là pas de choux gras, des temps de conception et modélisations réduits d'un gros facteur et puis là on est pour « l'élite », limite orfèvrerie sur des imprimantes industrielles qui valent 1 M€.
50 microns, c'est ce qu'on peut tirer d'une imprimante filament bien construite et top réglée, amateurs éclairés compris.
C'est ce que savent faire les SLA, imprimantes résines des Michus.
Les pro devraient pouvoir faire nettement mieux, surtout quand l'outil qui sculpte est la lumière
Par §Sno304lj
Si cette technique est aboutie et est fiable, et je pense qu'on peut faire confiance à porsche dans ce domaine
On est partis sur un terrain de jeu fantastique : appliquer le "light is right" aux moteurs
Je pense que Gordon Murray serait content de l'utiliser sur sa T50 (bien que ce soit trop tard probablement)
Et que Bugatti serait bien inspiré de l'utiliser pour alléger leur pachydermique V16
Par halffinger
En réponse à
Commentaire supprimé.
On peut faire de belles choses avec ses outils !!!!!
Par G.M.
En réponse à
Commentaire supprimé.
On est pas chez vag non plus avec leurs problèmes sur les moteurs essence. Mais bon ce n'est pas le même prix...
Ça existe depuis longtemps dans l'aéronautique. Pour exemple les aubes de turbines BP du plus gros réacteur existant, le GE9X, sont fabriquées en impression 3D (Titane Aluminium). Ça prouve que c'est du costaud.
Encore une fois l'industrie automobile s'inspire de l'industrie aéronautique.
Par mekinsy
"les entreprises Mahle"
308 GTI BPS
Par pechtoc
En réponse à
Commentaire supprimé.
Où tout simplement que des préparateurs ne vont pas mettre autant d'argent dans une telle imprimante.
Par §Duk301Dx
En réponse à
Commentaire supprimé.
Coûts de production réduits ? Ben je sais pas ce que ça nécessite comme investissement et maintenance technologique pour "ces pièces, "dessinées" par couche par un laser et des couches de métal en fusion."
ça a pas l'air évident quand même...
Par Trp11
Hmmm la fiabilité légendaire du groupe VW.
Par matrix71
C'est comme les chinois qui chie des pièce avec leurs fesse. Ça fait de la merde
Par §Le 432Xd
En réponse à
Commentaire supprimé.
Par Lycanthr0pe
En réponse à §Duk301Dx
Coûts de production réduits ? Ben je sais pas ce que ça nécessite comme investissement et maintenance technologique pour "ces pièces, "dessinées" par couche par un laser et des couches de métal en fusion."
ça a pas l'air évident quand même...
Tu peux avoir une idée de ce qui est "accessible" : https://www8.hp.com/fr/fr/printers/3d-printers.html pour le métal
T'as des trucs comme ça, innovant (et chouette à voir fonctionner, c'est une "delta", on dirait que ça danse : https://lynxter.fr/ )
Pour le reste, une pièce peut- être dessiné en tenant compte de spécificités de l'impression 3D mais la conception n'est pas si différente des procédés par enlèvement de matière.
La pièce dessinée 3D est ensuite "tranchée" en couches par un logiciel, et envoyée à l'imprimante.
Avantage comme précisé plus haut, des formes particulières sont jouables, donc elles peuvent coller aux efforts et donc renforcer efficacement les pièces juste là où il faut, pour globalement avoir une masse moindre.
Avec la fabrication additive, tu prototypes avec peu de monde et nettement plus rapidement.
Et ça permet aussi d'économiser de la matière dans certains cas.
Je regardais il y a peu un poste d'un usinage CNC 4 ou 5 axes d'une pièce un peu complexe dans un bloc d'alu, 70% de copeaux...
La même pièce en impression 3D, avec ce principe SLS, c'est certainement plus économique, la poudre pas grillée par le laser est récupérée pour la pièce suivante.
Ce n'est pas forcément valable pour tous les procédés, ceci dit.
Par Lycanthr0pe
En réponse à matrix71
C'est comme les chinois qui chie des pièce avec leurs fesse. Ça fait de la merde
Les chinois font de la merde quand on leur demande d'en faire pour les occis édentés occidentaux qui ne peuvent consommer que ça.
Mais ils savent de plus en plus faire aussi des trucs de bonne qualité, et réfléchis.
On disait pareil des japonais, copieurs et de la merde.
En électronique ils n'ont pas mis longtemps pour doubler leurs maîtres américains qui sont arrivés fissa voir comment ils avaient réussi cette prouesse.
Dans les bagnoles, on peut voir aussi ce que la notion de qualité veut vraiment dire.
Pour rappel, c'est un papy en charge de la qualité chez Toyota qui est venu montrer à Porsche comment on évite de reprendre 30% des véhicules qui sortaient des chaînes avec des défauts...
On attend les mêmes progrès chez PSA et Renault, entre une électronique faillible et des moteurs downsizés qui têtent de l'huile comme des 2 temps alors qu'on pensait acheter un 4 temps, et que le 2 temps polluait vraiment plus...
On ne gagne rien à casser la concurrence. Déjà vendre sa soupe et rester crédible en tenant ses promesses est un travail pas simple pour éviter de perdre de l'énergie à démonter le voisin.
Ça ce sont des manières de marchands de tapis.
Par mekinsy
En réponse à Lycanthr0pe
Les chinois font de la merde quand on leur demande d'en faire pour les occis édentés occidentaux qui ne peuvent consommer que ça.
Mais ils savent de plus en plus faire aussi des trucs de bonne qualité, et réfléchis.
On disait pareil des japonais, copieurs et de la merde.
En électronique ils n'ont pas mis longtemps pour doubler leurs maîtres américains qui sont arrivés fissa voir comment ils avaient réussi cette prouesse.
Dans les bagnoles, on peut voir aussi ce que la notion de qualité veut vraiment dire.
Pour rappel, c'est un papy en charge de la qualité chez Toyota qui est venu montrer à Porsche comment on évite de reprendre 30% des véhicules qui sortaient des chaînes avec des défauts...
On attend les mêmes progrès chez PSA et Renault, entre une électronique faillible et des moteurs downsizés qui têtent de l'huile comme des 2 temps alors qu'on pensait acheter un 4 temps, et que le 2 temps polluait vraiment plus...
On ne gagne rien à casser la concurrence. Déjà vendre sa soupe et rester crédible en tenant ses promesses est un travail pas simple pour éviter de perdre de l'énergie à démonter le voisin.
Ça ce sont des manières de marchands de tapis.
matrix s'est arrêté de lire ton commentaire au sixième mot...
Par §De 471tj
En réponse à
Commentaire supprimé.
Pas trop les mêmes prix. Dû changer le vase d’expansion de ma 911 à 571.- le bocal en plastique. Chez Renault c’est 100.-
Sachant qu’à l’époque le prix neuf d’une 996 était 6x une Clio, tu pourras t’attendre à de la fiabilité.
Pourtant des blocs moteurs mal coulés, et le fameux problème IMR. Sur ma voiture la chance d’avoir un roulement à double rangés des premiers modèles
Par Philippe2446
En réponse à
Commentaire supprimé.
Je me disais bien que Porsche aurait dû engager gignac comme expert fiabilité avant de s'engager sur ce procédé risqué...
Par jujudemetz2
"Un écart énorme compte tenu des régimes auxquels tournent ces bouts de métaux dans le moteur "
Certes, mais les pistons ne 'tournent' pas dans le moteur..
Par §LuF742xS
En réponse à
Commentaire supprimé.
Soit il est forgé, soit il est usiné dans un bloc d'alliage qui lui est forgé, mais forgé dans la masse puis usiné ne veut rien dire...
Encore un pro qui parle...
Quant aux capacités d'un piston imprimé, on ne les connais pas donc je ne vois pas en quoi tu peux parler, tant qu'il accepte la pression et la vitesse linaire à laquelle il doit être soumis, alors il sera aussi bon, d'ailleurs si porche utilise ce procédé c'est que ça convient, ils ont quand même des ingénieurs infiniment plus calé que toi je pense, qui ne sait même pas ce qu'est forgé et usiné...
Par §Duk301Dx
En réponse à Lycanthr0pe
Tu peux avoir une idée de ce qui est "accessible" : https://www8.hp.com/fr/fr/printers/3d-printers.html pour le métal
T'as des trucs comme ça, innovant (et chouette à voir fonctionner, c'est une "delta", on dirait que ça danse : https://lynxter.fr/ )
Pour le reste, une pièce peut- être dessiné en tenant compte de spécificités de l'impression 3D mais la conception n'est pas si différente des procédés par enlèvement de matière.
La pièce dessinée 3D est ensuite "tranchée" en couches par un logiciel, et envoyée à l'imprimante.
Avantage comme précisé plus haut, des formes particulières sont jouables, donc elles peuvent coller aux efforts et donc renforcer efficacement les pièces juste là où il faut, pour globalement avoir une masse moindre.
Avec la fabrication additive, tu prototypes avec peu de monde et nettement plus rapidement.
Et ça permet aussi d'économiser de la matière dans certains cas.
Je regardais il y a peu un poste d'un usinage CNC 4 ou 5 axes d'une pièce un peu complexe dans un bloc d'alu, 70% de copeaux...
La même pièce en impression 3D, avec ce principe SLS, c'est certainement plus économique, la poudre pas grillée par le laser est récupérée pour la pièce suivante.
Ce n'est pas forcément valable pour tous les procédés, ceci dit.
OK environ 400'000 euros, je voyais ça bien plus cher, mais effectivement pour un constructeur automobile c'est pas des capex délirants... Après il faut voir les coûts opérationnels liés à la formation des ouvriers (est-ce plus simple à exploiter qu'une CNC?), les coûts de maintenance, etc...
Par matrix71
En réponse à Philippe2446
Je me disais bien que Porsche aurait dû engager gignac comme expert fiabilité avant de s'engager sur ce procédé risqué...
Et encore ra pas tout vue ce qui est capable.
Il achète une A1 1.6 tdi de 300cv acheté à un mandataire et entrenu chez norauto
Par nous75again
En réponse à
Commentaire supprimé.
Mahle est un des tres grand nom de la fabrication de pieces moteur de tres tres haut niveau.
Porsche ne collerait pas des pieces de merde sur une 911 GT RS....
.
A mon avis ca doit pas etre tout à fait du meme niveau que les benevoles
qui font des visieres pour les hopitaux dans les FabLab
Par Lycanthr0pe
En réponse à §Duk301Dx
OK environ 400'000 euros, je voyais ça bien plus cher, mais effectivement pour un constructeur automobile c'est pas des capex délirants... Après il faut voir les coûts opérationnels liés à la formation des ouvriers (est-ce plus simple à exploiter qu'une CNC?), les coûts de maintenance, etc...
Je pense que pour un opérateur, il y a un aspect sécurité et des précautions à prendre avec la matière qui peut être très fine. Donc la manutention et le nettoyage des pièces demandent masques et combinaisons.
Ce que j'ai vu pour du matériel médical il y a 2 ou 3 ans.
Mais ça va dépendre des machines, peut-être aussi des besoins.
En tout cas, ça évolue très vite tant coté machines que matériaux.
Par exemple, eux travaillent avec des constructeurs automobiles entre autres sur de l'impression composites et métallique :
https://www.desktopmetal.com/
Je n'irais pas jusqu'à dire qu'on pourrait manger à coté de la machine. Mais la manutention est simple, en tout cas pour ce qui est présenté.
Par Mustang04
En réponse à §Exp502vb
Je ne connais aucune imprimante 3D qui n‘impose pas une reprise en usinage. Aucun imprimante n‘est capable d‘une précision de 10 microns, ne serait-ce à cause du retrait.
Je pense donc que ces pistons sont repris en usinage.
Par contre l‘impression 3D permet des formes dans la masse impossibles à faire avec les procédés classiques, d’où une meilleure rigidité et par levier une optimisation du poids ainsi qu‘une meilleure intégration des périphériques.
C'est l'avantage, faire des forme impossibles à faire en forge.
Par contre, la résistance doit pas être folichonnes, on ne peut plus se servir des fibres pour la résistance du matériaux.
Et effectivement, il doit y avoir une partie de reprise, comme sur bon nombre de pièces forgées aussi d'ailleurs, sur les surfaces de travail.
Par Rodger29
Porsche aujourd'hui, ce n'est plus que du plastique...
Par nico95
Qu'ils testent le 3D ! Ça ne peut pas être pire que les blocs des 996 / 997 qui explosent de partout de toute façon... ;) Voir ceux des 991 GT3 ph.1 aussi oO
SPONSORISE