Bon, on aborde le sujet des clignotants, qui est pour moi le sujet qui me fait dresser les poils sur les bras. Surtout quand je vois le nombre de personnes en deux ou quatre roues qui n'en mettent pas ou peu (je ne dis pas que je suis parfaite, il m'arrive d'oublier de le mettre, mais j'essaye que ce soit le plus rare possible).
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Voilà comment se faire mettre la pression. En tout cas la fille a bien le moral pour essayer de faire un burn pour la première fois devant des dizaines de personnes. Heureusement pour elle qu'il y avait une planche pour l'aider. Voilà le genre de délire que l'on retrouve dans les groupes de Harleyistes comme de ceux qui possèdent des japonaises.
Ca y est, c'est terminé. Le drapeau à damier vient de tomber et clore cette 30e édition des 24 H du Mans, suivie par plus de 90. 000 spectateurs, le beau temps a été de la partie tout le WE. La bagarre fût haletante jusqu'au bout. A 1h30 de l'arrivée, le trio de tête se tenait en moins de 50 secondes.
Comme je ne peux vous offrir un fond d'écran, je vous donne un petit florilège de demoiselles. Mais de temps en temps, un peu de quantité est mieux que la qualité.
Comme indiqué dans le dernier résumé, la CBR n°55 de National Moto a abandonné à 10h30 après 640 boucles. Dès le début de course, un accrochage oblige les mécaniciens à changer le réservoir. Frédéric Protat repart mais un souci sur le raccord entre le réservoir et l'injection provoque une panne d'essence.
Alors que la Suzuki n° 18 du team des sapeurs pompiers pointe en 9e position au classement général, j'ai recueilli pour vous les impressions au sein de l'équipe en appelant Olivier Guionet ce matin. Bonjour Olivier, alors, comment se passe la course ?
Il reste 4 H de course avant le drapeau à damier. La nuit fût riche en rebondissement autant pour ce qui est de la tête de course qu'au niveau des incidents de course. Au général, les Suzuki ont repris le commandement. A 10h45, Matthieu Lagrive vient de reprendre l'avantage sur ses confrères du SERT n°2.
Impressionnant depuis le début de ces 24h00 du Mans, Matthieu Lagrive a fini par être terrassé par la douleur engendrée par son radius brisé. A 04h30, ses chronos ont décliné vers la zone des 1'45, si bien qu'il a sagement décidé d'écourter son relais et de faire un break jusqu'à 09h30.
Non ? Dommage, car le personnage mérite d'être connu. Jusque là classé parmi les illuminés de la catégorie des inventeurs fous conquérants de l'inutile, le produit de sa matière grise revient d'un coup d'un seul sur le devant de la scène de la production industrielle.
Déjà 12 H de course pour cette 30e édition des 24 h du Mans. Si le début de course a été très mouvementé, la suite fut un peu plus calme même si de nombreux abandons ont émaillé la compétition. Parmi eux, la Metiss N° 45 a abandonné à 0h25 suite à une casse d'un piston, la Kawasaki du team Quatari a coulé une bielle.