C’est justement, la présence de moteurs diesel, sous son capot, qui fait de la Twingo une rareté sur le marché des petites citadines. « La carburation diesel représente 25% des ventes de Twingo en France ». Un chiffre franco-français, puisqu’en Europe la part tombe à 20%.
Nous avons pris le volant de la Twingo dCi 85 ch, sur un parcours mixte. Un moteur connu, et utiliser sous de nombreux modèles du groupe. Ce dernier voit ses consommations à 3,4 l/100 km et ses émissions à 90 g de CO2/km (bonus de 800 €). Hormis cette amélioration, la française ne subit aucune autre évolution d'ordre mécanique par rapport à la génération actuelle.
Dans la réalité, nous avons atteint une moyenne de 5l/100 km sur un parcours varié en conduite tonique. Des chiffres qui autorisent une autonomie confortable ainsi qu’une économie d’usage non négligeable. Avec ce dCi sous le capot, la Twingo autorise les trajets longues distances et flirte même avec le segment supérieur en prestations. Son confort et son châssis nous ont séduits ainsi que son agilité en ville. Un couteau suisse de 3,60 m qui comblera les urbains, les petites familles et ceux qui souhaitent investir dans une seconde voiture. Dommage que la position de conduite n’ait pas été plus travaillée, selon nous.
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