La Citroën C5.
Avec sa C5 II, Citroën réussit l'impossible, à savoir devancer la Renault Laguna 3 au niveau des ventes européennes. Preuve que le nouveau style plait, et que les efforts consentis en terme de qualité de fabrication ne sont pas vains, surtout auprès de la clientèle germanique. Son contenu technologique n'est pas en reste, avec le choix d'une suspension pilotée, d'une alerte de franchissement de ligne blanche, et l'adoption, comme sur la C4, du volant à moyeu fixe. Sans conteste, ses cotes et sa "cote d'amour" sera bien plus élevée que celle de la première C5, dont la fadeur est aujourd'hui comparativement évidente.
La Mazda 6.
Le premier opus de Mazda 6 avait déjà fait sortir la marque de l'anonymat dans lequel la maintenaient les Demio et 626, pour ne citer que les plus connues… Le second tir touche lui encore plus juste. La Mazda 6 "2" ne fait pas dans la dentelle. Un style acéré et dynamique, une version break qui ne manque pas de charme, des motorisations essence et diesels plus musclées, elle fait tout pour séduire le consommateur. Un bon cheval à jouer en deuxième main, donc…
L'Opel Insignia.
La marque au blitz mise beaucoup sur sa nouvelle familiale, pour contrer ses rivales dans une catégorie ou la lutte fait rage entre C5 II, Laguna 3, 407, Passat, ou encore Mondeo 2. Et elle ne manque pas d'atouts cette Insignia. Son style, même si les goûts et les couleurs ne se discutent pas, est globalement agréable, sa présentation itou, et ses qualités dynamiques tout à fait comparables à celles des meilleures. Elle n'aura aucune peine elle aussi à faire oublier la Vectra, qui parait tout à coup bien timide.
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