La DS5 Hybrid4 se décline en deux niveaux d'équipement pour les particuliers et un "Executive" pour les entreprises. Celui d'accès "So Chic" est déjà très bien doté, et il peut recevoir en option la plupart des accessoires de série sur la version haute Sport Chic de cet essai comme les efficaces projecteurs directionnels Xenon bi-fonction avec lave-projecteurs (850 €), le système de navigation eMyWay avec camera de recul + aide au stationnement AV (1?200 €), le pack cuir Claudia (1?600 €) ou encore l'affichage tête haute couleur à 400 €.

 

La finition Sport Chic propose aussi de série l'aide au stationnement avant, la caméra de recul, les sièges avant électriques et chauffants (avec une efficace et sonore fonction massage sur celui du conducteur)... Bref, le surcoût de 4?000 € se justifie amplement. Seul regret, c'est l'absence d'options technologiques telles que l'ACC (régulateur de vitesse adaptatif) ou l'affichage des panneaux de signalisation pourtant disponibles sur une Opel Insignia ou une VW Passat, et évidemment sur toutes les familiales ou crossovers Premium contre supplément(s).


Essai - Citroën DS5 Hybrid4  : fausse familiale, vraie hybride

 

Le plus remarquable à bord de la DS5, au-delà d'une belle qualité de finition, c'est la décoration qui se distingue largement de la concurrence. Les designers ont réussi à créer une ambiance particulière, à la fois techno et cosy. Un peu façon cockpit d'Airbus, surtout pour la console de pavillon où se logent les commandes de l'affichage tête haute. Certes, point de vue ergonomie, ce n'est pas mieux que le volant à méplat, mais on s'y croirait d'autant plus que le rétroéclairage de l'instrumentation, basculeurs et autres molettes est parfait.