C'est un fait et il est d'ailleurs bien volontiers reconnu par l'intéressé. Il faut que Valentino Rossi élève son niveau de jeu avec la Yamaha pour répondre aux attentes d'un peuple moto tout entier. La concurrence, elle, n'attend pas, et de Marquez à Crutchlow, les jeunes pousses poussent alors que lui s'émousse.
Voilà une déclaration du jeune retraité double champion du monde de Moto GP qui fera tirer de nouvelles larmes au vice-président du HRC Shuheï Nakamoto. Le Japonais avait été un moment inconsolable lors du pot de départ de l'Australien, et, quelque part, entretenait l'espoir d'un retour, dès cette année, pour deux piges.
On l'appelle « seamless » car elle distille plus de douceur et se révèle plus docile. Elle fait le bonheur de Honda depuis un moment et n'arrange pas pour autant les affaires de Ducati pour l'instant. Mais les gars de Yamaha, en manque de motricité face aux RC213V, aimeraient enfin en profiter.
Le lundi suivant le Grand Prix de Catalogne sera l'occasion laissée par la Dorna aux écuries de Moto GP de s'égayer à nouveau sur le tracé de Montmélo, pour des tests sur leurs motos. Une opportunité qui s'annonçait des plus alléchantes puisqu'elle se conjuguait avec les premiers tours de roues en Europe de la dernière née des Suzuki de Grand Prix.
L'homme est un fidèle parmi les fidèles d'un Valentino Rossi qui, à 34 ans, tente cette année de retrouver, chez Yamaha, sa splendeur ternie après deux ans passés chez Ducati. Par ailleurs, il a été des gloires de Doohan, Spencer et Gardener. Autant dire qu'il connaît son sujet.
Dans un Grand Prix d'Italie chauffé à blanc par un soleil qui a enfin pris ses quartiers de juin, il fallait rester au-dessus d'une mêlée avide de combat et de coups d'éclat. Les jours qui avaient précédé cette échéance dominicale avait démontré combien l'ambiance était électrique sur une piste du Mugello qui a enregistré de nombreuses chutes.
C'est une cinquième manche du championnat explosive que nous promet un Grand Prix d'Italie qui nous a déjà offert bien des émotions. Les palpitations ont commencé dès l'entame des hostilités du vendredi avec une violente chute d'un Marc Marquez lors de la seconde séance d'essai libre.
Pendant qu'en France, sur l'anneau de Montlhéry, les machines anciennes étaient mises à l'honneur, de l'autre coté des Alpes, une autre grande nation de l'histoire de la moto, l'Italie, ouvrait le bal des manifestations faisant la part belle aux "classiques" ainsi qu'aux machines de compétition.
Il y a quelques jours de ça se déroulait le Grand Prix Bwin Moto GP d'Espagne à Jerez. Je profitais d'être sur place pour aller discuter avec Randy de Puniet, le dernier représentant tricolore en Moto GP parmi vingt cinq pilotes du monde entier. Les CRT continuent d'être une véritable interrogation pour tout le monde.
Dani Pedrosa a beau être talentueux et revendiquer un palmarès des plus enviables, ce dernier regrettait l'absence de deux résultats au moment d'entamer le Grand Prix de France au Mans. Celui de ne jamais avoir remporté cette épreuve dans une catégorie reine où, aussi, il n'a jamais été sacré.
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