C'est décidé ! Celui qui se donne tous les moyens cette année pour décrocher le titre de Champion du Monde de Moto2, jusqu'à compter 88 points d'avance au classement général à six Grands Prix du but, redoublera dans la catégorie en 2016. La Honda RC213V version 2015 que le team Aspar lui proposait a été écartée.
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Entre la R1 de série et d'Endurance mais aussi très bientôt de Superbike et la M1 du MotoGP, il y a un lien, un parallèle sur lequel Yamaha insiste. Une double vision qui permet aussi d'ouvrir les yeux sur les difficultés du monde par le biais d'un Valentino Rossi que personne ne perd jamais de vue.
Comment dire… Avec ce genre de parodie, moult fois reprises sur des thèmes aussi divers que variés, on reste toujours partagés entre la franche hilarité et la gêne de l'énormité sous-jacente, puisque les acteurs n'ont pour ainsi dire pas vraiment laissé de bons souvenirs dans l'Histoire.
Marc Márquez a beau être du genre à ne jamais rien lâcher, il est aussi un être qui n'est pas dépourvu de sens commun. Aussi, lorsqu'il a perdu le contrôle de sa Honda RC213V pour chuter pour le compte au Grand Prix de Grande Bretagne, l'idée d'un titre définitivement perdu n'a pas manqué de lui traverser l'esprit.
Vous savez quoi ? Jorge Lorenzo, c'est une mécanique de précision. Lorsque tout va bien, que tout est bien huilé, il est d'une redoutable efficacité. Impitoyable même. Mais qu'un gain de sable s'immisce et tout se dérègle. La remarque vaut aussi pour la goutte de pluie.
On dit souvent que les gens heureux n'ont pas d'histoire. Mais ont-ils un avenir ? C'est toute la subtile équation que va devoir résoudre ces prochains mois un Johann Zarco qui a trouvé son équilibre au sein du team Ajo. A un point tel que même les acrobaties faites après une victoire pourraient valoir des notes artistiques.
C'est le héros de ce Grand Prix de Grande Bretagne. Venu du motocross, formé aux Superstocks 600 et 1 000, rien ne prédestinait Danilo Petrucci à se retrouver un jour sur un podium de MotoGP. Mais le sympathique Italien est un talent naturel qui roule sa bosse sans la moindre prétention.
C'est un Valentino Rossi extatique qui tirait le bilan d'un Grand Prix de Grande Bretagne qui s'annonçait comme celui de tous les dangers pour ses intérêts au championnat. Sur un tracé de Silverstone qui avait déjà consacré par trois fois son rival Jorge Lorenzo sans jamais le satisfaire d'une victoire, il pouvait aussi redouter la forme retrouvée de Marc Márquez et lâcher des points dans la course au titre.
Ce douzième rendez-vous de la saison n'aura pas été anodin dans une saison de MotoGP qui a encore six Grands Prix à vivre avant de désigner son champion de l'année. Car il aura brisé l'élan de l'un pour engloutir les espoirs de l'autre tout en désignant son favori.
Entre Loris Baz et le tracé de Silverstone, il y a comme une relation particulière. Le circuit lui a apporté ses meilleures joies en Superbike et en MotoGP, l'affinité ne s'est pas démentie. Voici le tricolore chef de file d'un team Forward en pleine tempête financière en tête de la catégorie Open des Grands Prix.