Le soleil de Valence semble avoir effacé celui, au sens figuré, de Sepang. Le Français s'était relevé chiffon de cette cabriole malaise sous la pluie, un faux pas qui l'avait fait dégringoler dans un championnat qu'il peut encore terminer septième.
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Il aurait pu s'installer à une septième place du championnat particulièrement convoitée à l'issue d'un Grand Prix de Malaisie qui, jusque là, lui promettait une position dans les huit premiers. Mais c'était sans compter sans une traitresse averse qui a bouleversé la donne et retardé de trente minutes le départ de l'épreuve.
Quatorzième hier, onzième lors de la dernière libre matinale, c'est à la huitième place que s'élancera finalement notre Randy De Puniet pour un Grand Prix de Malaisie qui sera éprouvant pour les organismes. Le Français n'a donc cesse de progresser depuis qu'il a mis les roues de sa Honda LCR sur le bitume surchauffé de Sepang.
Quatorzième, c'est certes un rang en adéquation avec sa plaque de carénage mais ce n'est pas avec ce genre d'harmonie que notre Randy De Puniet va impressionner ses adversaires pour la septième place finale au championnat.
Huitième sur la grille, même place à l'arrivée, Randy De Puniet a fait dans le sérieux sur un tracé de Phillip Island où il aurait cependant pu faire un peu mieux s'il s'était imposé à Melandri et si, surtout, il n'avait pas quelque peu raté son envol.
Un premier jour au fond du classement, une chute lors de la dernière libre, le meeting de Phillip Island était jusque pour le moins compliqué pour notre Randy De Puniet au moment d'aborder la qualification. Souffrant de maux de tête et de douleurs aux cervicales consécutive à sa cabriole matinale c'est qui plus est diminué qu'il entamait l'exercice.
C'est à croire que seul Valentino Rossi a trouvé la recette pour domestiquer son train arrière sur un tracé de Phillip Island qui n'a pas encore été suffisamment « gommé » pour offrir à ses pilotes la plénitude que son dessin autorise.
Sur un tracé physiquement exigeant, Randy De Puniet a pu vérifier en ce premier jour à Estoril tout le bénéfice d'une longue période de repos depuis Misano, que l'opportune annulation du Grand Prix de Hongrie a permise.
Inconditionnel du team LCR, voici votre bonheur. Vous voulez connaître les tribulation des troupes de Lucio Cecchinello de par le monde depuis leur accession en Moto GP en 2006, rien de tel que de se plonger dans l'historique du magazine de cette valeureuse équipe.
Comme nous vous l'annoncions en avant-première ce matin, notre Randy De Puniet a donc renouvelé son bail avec le team LCR.