La pollution générée par une automobile se mesure de plusieurs façons. Ou bien l'on se contente de placer une sonde à son pot d'échappement ou bien on prend en compte l'intégralité du cycle de vie (ACV) qui va de sa production à son recyclage. C'est ainsi qu'il était possible de dire qu'une Toyota Prius vendue aux USA polluait plus qu'un Hummer H1. Selon ce mode de mesure plus complet, qu'en est-il des autos électriques ? Voici la réponse.
Pour répondre à l'évolution du bonus-malus 2014, Peugeot revoit à la baisse les émissions de ces motorisations Hybrid4 qui associe moteur Diesel et bloc électrique. Désormais, l'offre Peugeot Hybrid4 débute à 85 gr CO2/km.
Jusqu'à présent, on associe plus facilement les moteurs Diesel aux rejets de particules que les moteurs essence. Pourtant avec la généralisation de l'injection directe, il semble selon une étude récente que ces moteurs essence produisent désormais jusqu'à 10 fois plus de particules que leurs homologues modernes fonctionnant au gazole.
La première réaction à cette annonce est souvent un sourire crispé. En effet, apprendre que désormais la pollution donne officiellement le cancer peut paraître surréaliste tant c'est une évidence pour beaucoup de monde et ce depuis bien longtemps. Mais cette déclaration de l'OMS va forcément avoir des conséquences dans l'automobile.
Le chiffre de 95g/km de CO2 a été finalement voté et adopté par l'Europe pour 2020, un nombre qui ne représente qu'une moyenne. Chaque constructeur aura ses objectifs à remplir, les premium allemands ne s'en sortent d'ailleurs pas trop mal.
Toyota a annoncé en début de semaine qu'ils allaient lancer un programme d'expérimentation d'un tout nouveau système intégré à ses voitures capable d'annoncer à l'avance le passage d'un feu de signalisation au rouge.
L'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) publie pour la deuxième fois son palmarès des voitures les moins polluantes. Surprise, la Renault Clio Energy Dci devance avec 83 grammes de CO2 par kilomètre les Toyota Prius et Auris.
C'est le 25 avril 1973 que le Premier ministre de l'époque, Pierre Mesmer, inaugure le boulevard périphérique de Paris. Le périph, c'est 35 kilomètres jalonnés de 38 portes parcourus par 1,3 million de véhicules tous les jours, ce qui en
En matière de pollution, la voiture a le hayon très large. Accusée de tous les maux notamment en ville, l'automobile contribue effectivement à rendre notre air beaucoup moins pur mais elle est loin d'être la seule fautive. Et si elle cristallise l'essentiel des critiques, il faut aussi savoir que les solutions alternatives préconisées par les anti-voitures ne sont pas toujours meilleures pour la santé. Par exemple, prendre le métro, c'est respirer un air 2 à 4 fois plus pollué que celui du périphérique !
L'Europe s'est penchée sur le problème des émissions de CO2 affichées par les constructeurs et souvent très éloignées de la réalité. Le rapport met en exergue les conditions de tests complètement irréalistes pour l'homologation des véhicules, ou encore l'hypocrisie générale qui règne.
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