Déjà bien en hausse depuis quelques mois, les prix des carburants pourraient à nouveau flamber, alors que les membres de l'OPEP n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur une augmentation de la production de barils.
A la demande du ministère français des Armées, un think tank français a réalisé une très longue étude sur les réserves de pétrole des principaux fournisseurs de l'UE. La décennie prochaine sera-t-elle celle du déclin ?
Le pétrolier français Total affiche 7,2 milliards d'euros de pertes en 2020. Le géant tricolore devrait changer de nom en 2021.
Ce lundi, le baril de Brent a dépassé la barre des 60 $, une première depuis plus d'un an. Conséquence : les prix des carburants grimpent.
Le secteur du pétrole a fortement plongé en 2020. 3 des plus grands industriels ont vu leur chiffre d'affaires dégringoler, alors que le prix du baril a plus que doublé en quelques mois, et que la demande a chuté.
En septembre dernier, le géant pétrolier BP annonce que le fameux "pic" est actuellement atteint, et que l'on se dirige désormais vers une pente descendante douce de l'or noir. Mais cela pourrait avant tout être la conséquence de la demande, plutôt que de l'offre.
C'est presque officiel: la compagnie pétrolière va opérer le parc de bornes électriques de la ville de Paris, lequel sera amené à croître de 56% dans les quatre ans à venir. Enjeux et décryptage.
L'industrie pétrolière connaît une année 2020 très difficile. Shell, le pétrolier néerlandais, compte licencier entre 7000 et 9000 personnes face à la baisse mondiale de la demande.
Les pétroliers ont fait face à d'énormes pertes au second trimestre 2020, la faute à une chute libre du prix de l'or noir. L'anglais BP, lui, discute désormais de l'abandon progressif de ses actifs à travers le monde pour se concentrer sur le renouvelable.
Si la problématique du pic pétrolier a été balayée ces dernières années avec l'émergence des "nouveaux" pétroles, tels que le schiste, le sujet est remis sur la table pour l'Europe : avec le déclin déjà enclenché de certains puits africains, arabes et russes, l'approvisionnement du Vieux Continent sera-t-il menacé d'ici 2030 ?