
Les citadines électriques en autopartage devraient disparaître rapidement des rues de Paris : la fin du contrat avec Bolloré devrait être votée ce jeudi.
Les citadines électriques en autopartage devraient disparaître rapidement des rues de Paris : la fin du contrat avec Bolloré devrait être votée ce jeudi.
Anne Hidalgo réunit aujourd'hui des acteurs de la filière automobile pour trouver une solution alternative à Autolib. Du côté des constructeurs, PSA et BMW ont déjà entamé des discussions avec la mairie de Paris.
Autolib’ sera-t-il bientôt définitivement à plat ? Le torchon brûle entre la mairie de Paris et le groupe Bolloré, la première reprochant au second des coûts démesurés et s'interrogeant sur la pertinence d'un service presque obsolète. Le second réplique en fustigeant la mauvaise gestion des pouvoirs publics.
Autolib, le libre-service de voiture électrique parisien, est au bord de la faillite et la limitation à 80 km/h s'appliquera bien (ou mal…) dans quatre semaines. Point commun de ces deux nouvelles? De grandes décisions prises dans le meilleur des mondes.
Un éclair tombé en pleine rue à Boulogne-Billancourt aurait déclenché un incendie qui a touché dix voitures en stationnement. Il n'y a heureusement aucune victime.
Un avocat a décidé de traquer les sociétés privées qui mettent à la fourrière des autos avec des véhicules non réglementaires. Un ancien employé a par ailleurs révélé que des chauffeurs travaillent sans permis valable.
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Ce jeudi matin, Emmanuel Macron donnait le coup d'envoi du salon Viva Technology, qui se tient à Paris jusqu'à samedi. Cet événement dédié aux entreprises du futur s'intéresse aussi aux nouvelles formes de mobilité.
La filière automobile et les pouvoirs publics ont officialisé mardi un nouveau contrat stratégique pour la période 2018-2022. Objectif: soutenir l'innovation et favoriser la transition énergétique.
Greenpeace a dévoilé un classement des grandes villes européennes en matière de qualité de l'air et de mobilité. La capitale française n'arrive qu'en 7e position, sur 13.
C’est une redondance qui inquiète et sur laquelle le Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail va se pencher. Cela se passe à la RATP, ci-devant la Régie autonome des transports parisiens qui s’interroge sur les raisons d’une tendance qu’ont ses bus à la combustion spontanée. Quatre véhicules ont été détruits par le feu en quatre mois, après des départs d’incendie dus à des courts-circuits. Un défaut sur les modèles du constructeur qui équipe la flotte de la Régie ? Pour certains, la vérité serait ailleurs…
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