
Il y a quelques semaines, le groupe automobile français PSA se réjouissait à juste titre de pouvoir réinvestir un marché iranien qui en pince pour ses produits. A cause d’un embargo international, Peugeot avait dû faire ses bagages d’Iran précipitamment. Un départ qui remonte en 2012 et peut-être un peu trop précipité. Ainsi, si les Iraniens veulent faire des affaires, ils ont aussi de la mémoire. A un point tel que l’on apprend que le blason tricolore a dû s’acquitter des indemnités pour revenir en grâce.