La commission technique créée à la suite du scandale du diesel chez Volkswagen continue son ouvrage en s’invitant chez les constructeurs. Ceci afin de passer au peigne fin leur gamme roulant au diesel et ainsi établir un état des lieux sur les émissions polluantes de ses véhicules. Après Renault, c’est au tour de Mercedes d’être passé au crible. Si le Captur et l’Espace ont fait douter chez le losange, il semblerait que ce soit la Classe S qui pose question sous l’étoile.
Il n’est pas une nouveauté qu’en matière de délinquance, l’Île de France n’est malheureusement pas épargnée. Les malveillants trouvent là matière à s’émanciper et la chose automobile est une cible qui n’est pas oubliée. Il y a peu, on a eu droit à un trafic de carte grise sur des véhicules accidentés remis en circulation sous le sceau d’experts peu recommandables. Aujourd’hui, c’est une fraude au permis de conduire qui a été mise à jour.
La mortalité routière ne faiblit pas, bien au contraire. Pourtant, les mesures pleuvent et nos gouvernants s’en remettent au Dieu radar pour inverser une courbe. Pourtant, les indicateurs s’accordent pour signaler que cette triste progression puise en grande partie sa progression dans celle du taux d’alcoolémie de celui qui cause le drame sur la route. Alors que faire ? La Sécurité routière a pensé à une vidéo parlant des victimes collatérales.
Les syndicats des taxis nous préviennent. Mardi 26 janvier, ils seront dans la rue. Et l’ambiance sera plus chaude qu’en juin 2015, au moment d’une manifestation contre l’application UberPop de l’enseigne Uber. UberPop a depuis disparu mais les raisons de la colère des taxis sont toujours d’actualité. Leur ressentiment contre les Véhicules de Transport avec Chauffeurs est vivace. Et ce n’est pas une ressente décision du Conseil Constitutionnel qui va les amadouer.
Un accident mortel sur la route relève-t-il de la fatalité ? Entre comportements individuels, effets mécaniques et configuration des lieux, il est autant d’éléments à analyser qui laissent à penser que lorsque la grande faucheuse s’emploie, elle ne s’impose pas, mais s’invite. Pour comprendre et éviter autant que faire se peut de passer de vie à trépas en étant dans une voiture, voici la typologie de l’accident-type.
Conduire une voiture sera peut-être demain aussi une question de génération. La réglementation a déjà identifié les jeunes conducteurs au moyen d’un logo « A » ostentatoire à l’arrière du véhicule. De l’autre côté de la pyramide des âges, certains ont pensé à coller un « S » statutaire au même endroit de l’automobile. Une lettre qui veut dire sénior. Mais si les jeunes conjuguent leur « A » avec des dispositions particulières au code de la route, le « S » lui ne sera en rien contraignant pour nos aînés. Il ne faudrait pas non lui ouvrir la boîte de Pandore !
Lorsque le groupe Bolloré s’est lancé dans l’aventure de la propulsion électrique il y a déjà 22 ans, c’était un grand saut dans l’inconnu. A l’époque, rien n’assurait à cette enseigne française impliquée dans la logistique, les transports, les médias ou l’énergie le succès d’une batterie lithium-métal-polymère (LMP) qui a nécessité au total 3 milliards d’euros d’investissement. Mais le pari a été gagnant. A tel point qu’après des voitures appelées Bluecar, ce sont des bus baptisés Bluebus qui vont arpenter les avenues des grandes villes.
Renault est entré dans l’œil du cyclone au sujet des émissions polluantes qui ont provoqué un ouragan chez Volkswagen. Un vent mauvais soufflé par un communiqué de la CGT qui a placé le constructeur français dans les turbulences financières. Mais selon le quotidien les Echos, l’avis de tempête est peut-être pour lundi 18 janvier. C’est en effet à cette date que la commission indépendante mise sur pied par Ségolène Royal pour connaître la vérité sur les moteurs diesel se réunit. Et elle auditionnera les dirigeants de Renault.
La marque DS qui veut représenter le luxe et la volupté au sein du groupe automobile français PSA aurait-il raté le coche de l’année 2015 ? Les chiffres auraient tendance à le démontrer. Dans un marché tricolore en progression de 6,8% en données brutes, DS a vu ses immatriculations reculer de 4,7%. Pendant ce temps les cousines Peugeot grimpaient de 7,3% et les sœurs Citroën de 0,8%. De quoi avoir le spleen en vue de la campagne 2016 ? Que nenni.
Le document fait s’entrechoquer deux événements en cours au calendrier. Pour les réunir pour le pire. A Las Vegas, on célèbre dans la joie les avancées de l’électronique qui changent le format de l’automobile qui est prête à s’émanciper de son conducteur. En France, on se souvient des jours douloureux de 2015 qui, hélas, se sont répétés avec encore plus d’horreur en novembre dernier. Le rapport ? L’Etat islamique et son terrorisme. Car Daesh pense aussi à la voiture autonome. La preuve en images.