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Le marché automobile de mai est marqué par un podium surprenant du côté des modèles, la Clio ayant perdu sa première place. Côté marques, Citroën et Dacia sont en grande forme, Volkswagen et Ford calent.

Dans un marché mitigé, Citroën tire son épingle du jeu grâce à ses SUV. Le premium se porte bien Le groupe Renault est en revanche à la peine, tout comme le groupe Fiat.

Les véhicules d'occasion à moteur diesel sont de moins en moins demandés, ce qui fait baisser les prix. Un phénomène qui touche surtout les plus âgés.

Après avoir retrouvé des couleurs en février, le marché est de nouveau en baisse (- 2,3 %). Si Renault reprend la tête, le Losange recule. Peugeot, Ford et BMW sont aussi dans le rouge. À l’inverse, Citroën, Volkswagen et Hyundai ont le sourire.

Après plusieurs mois de baisse, le marché retrouve enfin des couleurs, même si la hausse est timide (+ 2,1 %). Beaucoup de marques généralistes sont d'ailleurs en baisse. Mais certaines tirent leur épingle du jeu, notamment Citroën et DS.

Pas de changement dans les grandes tendances du marché français de ces dernières années. Mais celles-ci ont été accentuées en ce début d'année 2019.

L'année démarre avec une petite baisse, - 1,1 %. Comme en 2018, Peugeot commence en tête, mais est le constructeur français qui souffre le plus. Volkswagen se relance. Ford et le groupe Fiat débutent bien mal 2019.

Petit coup de mou pour les ventes d'occasions, le marché ayant été perturbé par la prime à la casse et un déséquilibre entre la demande, portée sur l'essence, et l'offre, dominée par le diesel.

Même s'il a connu un coup d'arrêt au dernier trimestre, le marché français affiche un bilan 2018 dans le vert, avec + 3 %. Renault reste en tête, mais Peugeot resserre l'écart. Dacia, Hyundai et Seat sont en forme. Alfa Romeo souffre, Audi dégringole. Le diesel a poursuivi sa chute.

Les immatriculations ont reculé de quasiment 5 % en novembre. Peugeot est large leader, profitant d'un beau gadin de Renault. Dacia est en super forme, tandis que Nissan et Audi se plantent à nouveau. L'électrique atteint 2 % de part de marché.