Triumph sera en Grand Prix en 2019 en se présentant comme le fournisseur unique en moteur de la catégorie Moto2. Un sacré pari pour l’usine d’Hinckley mais une opportunité de montrer son savoir-faire et de la faire savoir. Après deux ans de développement avec les équipes et aussi Magneti Marelli qui représente la centrale électronique elle aussi standard, la remise symbolique des mécaniques s’est faite sur la grille de départ du Grand Prix d’Aragon…
Dans un mois, Triumph présentera son dernier Scrambler musclé qui aura pour mission de tailler des croupières à une Ducati du même nom, et à la même vocation. L’usine d’Hinckley nous avait déjà mis l’eau à la bouche dans une vidéo de présentation. En voici une seconde qui nous montre quelques détails sur la bête…
Si certains pensaient que la mode vintage que l’on peut aussi qualifier de style neo-retro n’était qu’un moment passager dans les gammes des constructeurs motos, voici un nouveau modèle dans le genre qui les contredit. Triumph, qui a toujours cru à cette lame de fond qui n’est pas un phénomène de mode, lance en effet son Scramber 1200. Avec une vidéo et même une date pour le rendez-vous.
L’an prochain, la catégorie intermédiaire des Grands Prix qu’est le Moto2 ne résonnera plus du son du quatre cylindres Honda dérivé de feue la 600 CBRR. Après de bons et loyaux services, commencés dans cette discipline à moteur unique qui a remplacé les deux temps quart de litre en 2010, il laissera sa place à un Triumph trois cylindres. Et pour voir ce futur, il fallait être à Goodwood !
Il n’y a pas que KTM qui se fait surprendre sur la route avec des prototypes annonçant un prochain modèle. Triumph aussi est l’objet des paparazzis, et en voici la preuve avec un opus annoncé pour être le futur 1200 Scrambler.
C’est une machine rendue célèbre par la toile avec un acteur dessus qui n’était pas moins charismatique. La Triumph de l’opus « La grande évasion » du début des années soixante et chevauché par le regretté Steve McQueen va s’échapper du musée de la marque pour s’exposer en liberté, au public passionné.
Pour le moment, comme l’on dit, cela ne concerne que les modèles Street Triple qui évoluent aux États-Unis. Chez l’Oncle Sam, on s’inquiète ainsi d’un problème électrique pouvant survenir au niveau des commodos sensibles à l’humidité. Il s’agit du millésime 2018.
Triumph travaille sur sa gamme 1 200 sur base de Bonneville et ne peut que répondre à Ducati qui, avec sa Scrambler, a décidé de marcher sur plates-bandes. Celle-ci est montrée à présent en 1 100 et les Anglais préparent en riposte une version 1 200 dans le même style. D’après la rumeur, ils en prépareraient même deux…
Les constructeurs renouvellent leurs gammes en règle générale d’initiative mais, parfois, ils y sont contraints par de nouvelles mesures législatives. C’est le cas de l’entrée en vigueur des normes de pollution Euro4 qui envoient à la retraite certaines machines pourtant prisées et de bonne qualité. Chez Triumph, c’est le cas de la Daytona 675 qui n’est plus visible sur le site du constructeur. Il y a donc comme un vide. Mais le constructeur d’Hinckley a la solution de rechange.
Après la Street Triple, c’est au tour de la Speed Triple de se doter d’une version S et RS. Présenté hier soir en grande pompe à Londres dans la maison mère de la marque, voici pour vous, la présentation comme si vous y étiez.
Toute l'actu par marque/modèle
SPONSORISE
