Réclamé depuis le début de la saison et cette fois bel et bien mis à disposition des pilotes titulaires au sein du HRC, après que Tadi Okada lui ait fait faire ses débuts en Grand Prix à l'occasion de la course du Mugello la semaine dernière, le nouveau moteur Honda restera pourtant dans les cartons pour le Grand Prix de Catalogne de ce week end.
Après que Lorenzo ait fêté sa centième au Mugello par une chute, le team Gresini va célébrer ses deux cents Grands Prix, ce week end, à Barcelone. Une belle longévité ponctuée par un palmarès plus qu'honorable. Jugez ans: trois places de vice champion du monde de la catégorie reine, un titre mondial en 250, et quatre vingt onze podiums.
Ceux qui désiraient se procurer le nouveau roadster de chez Honda, devaient s'armer de patience jusqu'en juin pour se la procurer. Et c'est dans l'usine d'Italie qui s'occupe de toute la production pour l'Europe qu'est née la première moto du genre. A cette occasion, Mr.
Puig met à la disposition des possesseurs du scooter Honda SH 125i et SH 150i (autrement connu sous son petit nom : Scoopy) un pare brise(disponible en plusieurs coloris) au nouveau look aérodynamique adapté pour ce type de deux roues.
Dix ans, cela faisait dix ans que Carlos Checa n'était pas monté sur la plus haute marche d'un podium. La faute sans doute à un acharnement à vouloir rester dans une catégorie reine de la vitesse moto qui ne lui a offert, après 220 Grands Prix, que deux concrétisations du temps des 500cc.
La réflexion sur la catégorie qui remplacera le GP250 deux temps risque de rebondir dans une semaine en Catalogne. Où aura lieu une importante réunion entre les constructeurs qui devrait aboutir à une position claire de ces derniers sur ce sujet hautement stratégique.
Comme en 2007, le premier constructeur mondial nous propose une nouvelle déclinaison de sa 125 routière. Inébranlable, la Varadéro connait encore et toujours un succès grandissant et il est donc normal, pour Honda, de la remettre assez souvent au goût du jour. Cette nouvelle version se nomme donc, comme l'an passé, "travel édition".
Score vierge pour Randy au sortir d'une campagne d'Italie douloureuse puisque marquée par une bataille perdue avec le train arrière de sa Honda LCR. Un mal qui n'a jamais été cerné et donc encore moins traité, si bien qu'au final c'est le bac à graviers qui l'attendait.
Le Grand Prix d'Italie sera sans doute une course dont Alex De Angelis se souviendra longtemps. Sauf à réitérer l'exploit car toute la question réside maintenant dans le fait de savoir si le San Marinais a fait la course de sa vie ou si on vient de vivre celle qui aura provoqué chez lui le déclic vers de nouveaux exploits.
Il avait dit à la fin de la qualification qu'il lui manquait toujours quelque chose pour jouer la victoire et en course, il s'est effectivement avéré que sa Honda n'était pas vraiment en mesure de jouer la gagne.
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