Une nouvelle association milite pour la légalisation du rétrofit* des voitures thermiques en électriques. Une bonne idée qui m'en donne une autre, moins dans l'air du temps.
Jean Savary
Lui écrireRupture de fiançailles à Billancourt. La belle Italienne n'a pas supporté que le Français demande le temps de la réflexion. Pas rancunier, ce dernier ne ferme pourtant pas la porte. Faut-il garder le champagne au frais ? Ou mettre la pièce montée à la poubelle de l'histoire ?
C'est désormais inscrit dans la loi : à partir du 1er janvier 2040, il sera interdit de vendre en France toute voiture ou utilitaire léger à moteur thermique. Un projet réellement dingue.
En lisant le compte rendu d'un essai de la Twingo restylée, j'apprends qu'il pourrait s'agir de la dernière du nom. Que se passe-t-il chez Renault ?
Lors de sa grande allocution de jeudi soir, le président n'a soufflé mot de la limitation à 80 km/h. Hier soir à la sortie du séminaire gouvernemental, toujours rien à ce propos. Veut-on laisser pourrir le dossier ?
Grande absente du dernier salon de Genève le mois dernier, la voiture autonome ne semble plus si inéluctable, reportée à 2050 voire aux calendes grecques. Au-delà des doutes sur sa faisabilité, ce sont ses effets indésirables qui inquiètent experts et politiques.
Donner de l'argent à des gens assez pauvres pour qu'ils échangent leurs vieilles voitures contre de plus récentes, ça se défend. Mais mettre ces vieilles voitures à la casse plutôt que les donner à de très pauvres, c'est idiot.
Il ne s'agit plus de savoir si la voiture électrique est viable ou utopique : nous y allons et à toute vitesse. Dans cette course, les premiers partis - les constructeurs français - seront-ils les derniers arrivés ? Au delà de Renault et PSA se joue rien moins que de l'avenir industriel de l'Europe
Un tiers de voitures en moins en quinze ans, des moteurs toujours plus propres et pourtant, Paris se plaint toujours de mal respirer. De deux choses l'une, soit le parisien est hypocondriaque, soit la mairie de Paris s'est trompée de cible.
Les sans permis auraient bien plus d'accidents que les "avec permis" et cela justifie que désormais, on les traque. En réalité, il y a énormément de bonnes raisons de leur faire la chasse, mais la sécurité routière n'en est pas une.