
En ces temps troublés, vous êtes nombreux à vous poser la question de vos remboursements de crédit ou de formules de location longue durée : est-il possible de les suspendre ? Et si oui comment ? Caradisiac vous répond.
En ces temps troublés, vous êtes nombreux à vous poser la question de vos remboursements de crédit ou de formules de location longue durée : est-il possible de les suspendre ? Et si oui comment ? Caradisiac vous répond.
, mis à jour 52
Au troisième jour de confinement, Caradisiac est allé à la rencontre des rares professionnels qui se déplacent encore dans la capitale. L'occasion de rappeler que, sans justificatif, c'est une contravention de 135 euros qui est prévue. Reste que devant le peu d'affluence constatée ce jeudi matin, le sentiment qui prédomine, c'est bien que les consignes paraissent, dans l'ensemble, respectées.
, mis à jour 65
Aucun cadre précis à un confinement total (ou partiel) n'est actuellement prévu par la loi. Concrètement, si une telle mesure devait être annoncée par le président de la République ce lundi, cela signifierait que les Français ne pourraient plus, d'une manière générale, circuler comme bon leur semble, quand ça leur chante. Il y aurait nécessairement des restrictions. Mais pour les détails, il va falloir patienter…
C'est la hantise de nombre d'acheteurs de voitures d'occasion : faire les frais d'un vice caché. Celui qui vous laisse impuissant sur le bord de la route, avec une boîte de vitesses dans le sac, ou une voiture de moindre valeur, car elle a 100 000 km de plus que déclaré. La Loi permet toutefois de se défendre. Mais une récente interrogation a émergé : il faudrait agir avant que la voiture atteigne ses cinq ans ! Info ou intox ? Quels sont les vrais délais pour agir ? Caradisiac fait le point.
Un expert automobile et 26 garagistes comparaissent devant le tribunal Correctionnel d'Essonne durant deux semaines pour avoir remis en circulation 1 024 "véhicules gravement endommagés" (VGE), sans les avoir correctement réparés ni vérifiés. En l'occurrence, à cette audience, ils n'auront à répondre que pour le quart de ces autos. C'est la deuxième affaire de ce type à Évry, après celle dite des "5 000" qui n'est toujours pas soldée. Au final, dans ces procédures, ça fait un paquet de victimes sur le carreau.
La course aux PV s'intensifie depuis près d'un an sur Paris. En plus des agents de la Préfecture de Police, ce sont les agents municipaux qui se sont mis en effet à scruter les images des caméras de vidéosurveillance pour pister les infractions. Le nouveau service a été lancé l'année dernière à la mi-septembre. Selon les chiffres officiels, on est passé en quelques mois de plus de 300 à près de 600 PV "au vol" journaliers rien que par la mairie de Paris, soit plus de 900 en tout. Voici tout ce qu'il faut retenir de ce procédé avec Caradisiac.
Pour ces infractions qui s'accompagnent bien souvent d'une suspension administrative du permis de conduire, en cas d'interpellation sur le bord de la route, si le policier remplit mal son PV, c'est l'assurance de pouvoir retrouver très vite le droit de rouler. Comment savoir ? En pareilles circonstances, vous n'avez pas à recevoir d'amende par La Poste. Alors, si ça vous arrive, c'est que c'est… gagné ! Explications.
L'Agence Nationale des Titres Sécurisés (ANTS) qui traite notamment, via son portail informatique, toutes les demandes administratives liées au certificat d'immatriculation et au permis de conduire, doit remettre les titres réclamés dans les délais, sous peine de devoir indemniser les usagers concernés. C'est en substance ce que vient de confirmer le Conseil d'État dans une affaire où un automobiliste, défendu par Me Josseaume, s'est retrouvé privé de son permis bien plus longtemps que prévu.
Exit les péages urbains, l'inhibition de certaines alertes sur les avertisseurs de radars, mais vive la surveillance croissante dans les cités de demain ! Le projet de loi d'orientation des Mobilités (LOM) n'a pas enterré toutes les mesures susceptibles de fâcher. Au programme de la LOM, il y a notamment l'automatisation du contrôle de plusieurs infractions, dont l'interdiction de circuler dans certaines voies ou même des (centres-)villes.
Le préfet à la tête de l'Agence nationale de traitement automatisé des infractions (Antai) jusqu'à la fin 2013 a été condamné à 1 000 euros d'amende, par la Cour d'Appel de Paris, ce lundi. Jean-Jacques Debacq était notamment poursuivi pour avoir fait payer ses propres contraventions, en l'occurrence 18 pour un total de plus de 800 euros, par son administration.
Rechercher par sous-rubrique dans Pratique
SPONSORISE