C’est un rapport sénatorial qui fait mal et qui pose question alors que, par ailleurs, certains péages augmentent et que, de plus en plus, notre quotidien routier est rythmé par des restrictions de circulation et des limitations de vitesse temporaires. La cause ? La dégradation régulière de nos infrastructures routières. C'est la compétitivité de notre pays et la sécurité des usagers qui est en jeu. Les Nationales et les Départementales se délabrent, mais aussi les autoroutes payantes.
Si vous passez aujourd’hui du côté de la place de la Concorde à Paris, vous remarquerez sans aucun doute la présence d’une bâche géante de 218 m2. Pour des travaux ? Non, pour une bonne cause, celle de sensibiliser sur la mortalité routière dans le monde. Voici une nouvelle campagne avec pour thème la sécurité routière. Appelée « 3 500 lives » soit 3 500 vies et initiée par la Fédération internationale automobile elle mobile treize personnalités d’horizon très différent.
Depuis le début de l'année, la société concessionnaire a déjà comptabilisé neuf accidents avec des véhicules de sécurité. Elle invite les conducteurs à plus de prudence dans les zones où les agents interviennent.
Même si les nouvelles voitures-radar paraissent pouvoir contrôler la vitesse en toute autonomie - sans intervention d'un éventuel copilote, ni du chauffeur - les véhicules croisés en circulation, il n'en reste pas moins que la privatisation de leur conduite soulève bien des interrogations. Et leur présentation ce vendredi à la presse n'a pas permis de nous rassurer complètement.
40 200 personnes ont trouvé la mort sur les routes américaines en 2016, soit le pire chiffre depuis 2007. Les causes officielles ? Les mêmes qu'évoquées en France : smartphones, alcool, drogue et vitesse. Mais aussi étrange que cela puisse paraître, il y a aussi le non-port de la ceinture de sécurité.
À la suite de la publication la semaine dernière du droit de réponse du délégué interministériel à la Sécurité routière qui entendait réagir à notre article du 11 janvier, les lecteurs de Caradisiac nous réclament de nouvelles explications pour justifier le maintien de nos informations. Voici notre argumentaire point par point.
Ce court-métrage montre quatre gendarmes qui racontent le moment où ils annoncent à des personnes qu'un de leur proche vient de perdre la vie dans un accident de la route.
Pour la troisième année consécutive, le nombre de tués sur la route remonte légèrement en France. Et huit pays européens viennent de demander à la commission européenne de durcir les normes de sécurité des véhicules. Est-ce la priorité ?
Le « faites ce que je dis mais pas ce que je fais » est un concept que l’État ne voudrait pas voir décliner à ses administrations dans le domaine de la sécurité routière. Nos agents du fisc, d’une efficacité redoutable pour ce qui est de leur domaine de compétence, ne seront pas ceux à qui on reprochera un arrièré de comportent ou un redressement de la vitesse une fois derrière un volant. Et pour cause : le ministère de l’Économie et des Finances vient très officiellement de s’engager dans une action exemplaire en faveur de la sécurité routière.
L'année 2017 débute de manière contrastée. Si le nombre de morts a augmenté (+ 21 en un an), il y a eu moins d'accidents et de blessés.
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