
Les journées de Volkswagen sont faites de haut et de bas. Côté marché et ventes, le groupe aux douze marques s’affirment comme solide mais si l’on regarde ses frais de justice, on est d’un coup d’un seul moins optimiste pour le constructeur. Le « dieselgate » lui pollue la vie depuis 2015, année où les autorités américaines ont découvert qu’on tentait de les enfumer. Depuis, il faut bourse déliée.