Organisée par Artcurial, cette vente devrait séduire par la variété des modèles proposés. Il y en a pour tous les goûts et toutes les bourses, d'une Méhari à une Veyron, en passant par cette Ferrari achetée neuve par l'acteur en 1998.
Il y a un an, un automobiliste a failli plonger dans la Garonne au volant d'un C4 Picasso à la boîte de vitesses automatique défectueuse. Une frayeur qu'il n'a toujours pas digérée.
Cette Britannique en avait assez des excès de vitesse récurrents et assez importants dans sa rue. Elle eut donc l'intention de prendre les choses en main avec une idée toute simple : faire croire à un contrôle de vitesse. Et pas avec n'importe quel radar : un sèche cheveux !
Pour la 16e année consécutive, nos confrères d'Autoexpress ont réalisé une grande étude auprès de 70 000 automobilistes anglais pour connaître leur degré de satisfaction avec leur véhicule. Il en ressort que les propriétaires de Skoda sont les plus satisfaits, et tout particulièrement ceux de la Superb.
Les nuisances sonores sont un vrai problème à Paris puisque 22 % des habitants de la capitale seraient concernés par les problèmes de bruit liés aux routes. La municipalité va justement tester un bitume spécial anti-bruit mais aussi anti-chaleur dans le 14e arrondissement. Coût du test ? 2,9 millions d'euros.
Tel est pris qui croyait prendre. À Nantes, un voleur s'est retrouvé bloqué dans la porte d'une voiture en essayant d'atteindre le loquet. Pour s'en sortir, il a lui même appelé les pompiers !
Basée sur la variante GT3 de la M6, l'Art Car numéro 18 est toute de noir vêtue mais prend des couleurs via une application sur téléphone. Elle a été imaginée par une artiste chinoise.
Le Vatican souhaite être à la pointe en matière de développement durable. L'État s'est ainsi associé à Opel pour développer sur son (tout petit) territoire la mobilité électrique.
C’est un fait pour le moment acquis. En 2019, lorsque l’on voudra arpenter les axes routiers allemands, il faudra au préalable s’acquitter d’une taxe. On l’appelle déjà vignette, mais à tort, car contrairement à ce qui pratique déjà en Suisse, il s’agira cette fois d’un contrôle électronique à partir des plaques immatriculations des véhicules et non d’une vérification faite sur le pare-brise. Pour autant, l’initiative ne colle pas avec les voisins et notamment avec les Alsaciens.
Il fut un temps où avant de se lancer dans un long trajet, il y avait une veillée d’armes autour d’une carte routière avec crayons bien taillés et règle de calcul vérifié. Des outils indispensables pour dresser la feuille de route, avec ses points ravitaillement, et trouver ses raccourcis bien à soi. Puis est arrivé le GPS, biffant ce moment de convivialité où l’aventure du voyage commençait par la lecture de la carte routière. Le progrès satellitaire nous a libérés de ce poids tout en annihilant l’angoisse de l’erreur de parcours. Mais selon une étude menée en Grande Bretagne, le même GPS n’est pas si parfait.
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