Le nom de la voiture la plus rapide du monde dans le fameux "Guinness Book" vient de changer. Exit la Bugatti Veyron Super Sport, place à la Koenigsegg Agera RS.
Un conducteur qui venait d'être flashé à 160 km/h sur une route limitée à 90 km/h a pensé échapper au PV en détruisant le radar. Il a tiré sur la cabine avec un fusil de chasse puis l'a incendiée avec de l'essence.
BMW annonce une campagne de rappels conséquente en raison e deux problèmes touchant différents modèles qui peuvent en revanche finir e la même façon ; soit en cendre. Un risque d’incendie qui appelle à cette mesure de précaution d’envergure qui n’empêchera peut-être pas au constructeur allemand de s’épargner procès et dédommagements des clients. Puisque les véhicules concernés roulent aux États-Unis.
L'une des pistes automobiles les plus vieilles au monde renferme de jolis secrets. Parfois, il suffit simplement de creuser pour se rendre compte de l'ancienneté du site. En voici la preuve avec un échantillon de la piste sur plusieurs dizaines de centimètres de profondeur, pour remonter à la couche primaire de la piste, en graviers.
Cette publicité, vous l'avez peut-être déjà vue sur vos petits écrans, et il est fort probable que rien ne vous ait choqué. Pourtant, au Royaume-Uni, la même publicité ne passe pas à cause d'une histoire de message au volant. Le spot a été banni.
Le "premier" pick-up premium selon Mercedes est le Classe X, mais le groupe Volkswagen ne l'entend pas de la sorte puisque Volkswagen propose effectivement l'Amarok dans une version V6 bien dotée depuis déjà un bout de temps. Le groupe ne s'est d'ailleurs pas gêné pour piquer un peu son concurrent et le lui rappeler.
Après avoir acheté de l'alcool dans une station-service, un automobiliste est reparti à contresens sur l'A43. Il a réussi à parcourir 50 km dans le mauvais sens, heureusement sans faire d'accident.
L'histoire a de quoi faire sourire : un motard s'est fait flasher plus de 150 fois au même en droit par un radar qui prend les usagers de la route par le devant, sauf que les motos échappent évidemment à cette sentence. L'homme a cependant eu le tort de passer tous les jours à la même heure. Bien mal lui en a pris.
On ne s’en lasse pas. Mais on s’en étonne toujours. Il arrive à certains de partir avec un certain nombre de passagers dans leur véhicule pour une même destination commune et d’arriver avec quelques âmes en moins dans l’habitacle. Un allégement des effectifs constaté une fois le moteur éteint et les portières ouvertes. Une situation d’autant plus surprenante que, souvent, ce type d’oubli concerne des proches. Un jeu des sept familles, égrainé par les événements découverts çà et là. Après la belle-mère ou l’épouse égarées sur les aires d’autoroutes, voici le fils oublié nuitamment sur la départementale…
C’est une opaque affaire de certification pour le marché intérieur japonais qui met actuellement à mal une industrie automobile nippone qui aurait aimé oublier un moment ses errements sous l’auvent de son Salon de Tokyo. Le « made in Japan » n’est plus ce qu’il était ni même la discipline d’entreprise à l’aune des errements d’un secteur qui a fait la réputation contemporaine de l’empire du soleil levant. Au fracas de l’effondrement de l’empire Takata aux airbags meurtriers succèdent les craquements du reste de l’édifice. L’enseigne Kobe Steel tangue et Nissan colmate ses brèches mais voilà que Subaru vacille à son tour.
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