Si General Motors produit depuis longtemps des moteurs diesels Duramax pour ses pickups, ce n'est pas le cas de Ford qui vient seulement de dévoiler la toute première version diesel du F150. Mais ce qui n'est pas écrit dans les communiqués, c'est que ce fameux V6 diesel installé sous le capot de la meilleure vente américaine... est français.
L’effet de souffle des déclarations de Donald Trump sur l’industrie automobile continue à produire son effet. Cette dernière a beau dire qu’elle s’adaptera une fois que seront véritablement connues les exigences du futur Président des États-Unis qui prendra ses fonctions le 20 janvier prochain, le coup de semonce a été entendu et les marques annoncent des créations d’emploi pour les Américains pour cacher cette délocalisation que l’on ne veut plus voir. Dernier signe d’allégeance en date : celui de Fiat Chrysler.
On ne chôme pas chez Volkswagen. Surtout si l’on fait partie du service juridique ou que l’on a des responsabilités dans le domaine des campagnes de rappels. Deux vocations particulièrement liées depuis la révélation en 2015 de l’existence d’un logiciel truqueur sur 11 millions de véhicules faussant le niveau réel d'émissions de gaz polluants lors des contrôles.
La General Motors et Toyota menacés, Ford en pleine retraite du Mexique, ce n’est rien de dire que l’élection de Donal Trump à la tête des États-Unis va peser sur l’ambiance entre les États-Unis et ses voisins frontaliers. Quant à l’industrie automobile, la voilà prise au piège.
La General Motors a été pointée du doigt et Ford a pris les devants pour éviter les foudres du futur Président des États-Unis. Donald Trump ne prendra ses fonctions que le 20 janvier prochain, mais il rappelle déjà au souvenir des constructeurs automobiles son programme dont une partie fustige l’existence d’un accord de libre-échange avec ses voisins canadiens mais surtout en l’occurrence mexicains. Après les deux marques américaines précitées, c’est maintenant au tour de Toyota d’être sur la sellette.
L'hyper connectivité et la technologie omniprésente peuvent avoir de sacrés avantages. Cet Américain s'est en effet fait volé son auto alors qu'il venait simplement déposer un colis. La police a rapidement retrouvé son véhicule, non pas grâce à une longue enquête, mais simplement par l'utilisation d'une application liée au téléphone, laissé dans l'auto.
Un gyrophare, les sirènes hurlantes, tout le monde sait ce que cela veut dire et implique : des secours sont en intervention et il faut leur faciliter le passage. Le Code de la Route, dans ces cas-là, est pour mémoire et il appartient aux intervenants d’user de cette prérogative avec discernement et prudence. Mais à Poitiers, il peut en être autrement. Une ambulance en fonction peut ainsi être poursuivie par la Police qui veut la contrôler. Une guerre des gyrophares qui a tout de même failli mal tourner.
C’est un nouveau cas dramatique de l’usage du téléphone au volant qui est ici rappelé. Mais avec un enjeu plus particulier. Alors que, de ce côté-ci de l’Atlantique, on sensibilise le conducteur pour qu’il ait un comportement responsable en s’obligeant à se déconnecter de son appareil, aux États-Unis, on pointe du doigt les fabricants de téléphone et on leur demande de prendre leurs responsabilités. Un inversement des pôles que découvre Apple au Texas.
Les Américains n'y connaissent rien en voiture électrique, et cela tombe bien, le salon de l'électronique sera l'occasion pour les organisateurs du championnat Formula E de présenter une des monoplaces électriques qui parcourra la ville afin de tenter de rendre la compétition un peu plus populaire. Une course virtuelle organisée entre pilotes professionnels et amateurs donnera lieu à un gain exceptionnel d'un million de dollars.
Le constructeur coréen est associé à l'OL depuis cinq saisons. En plus d'afficher son logo sur les maillots des joueurs, Hyundai met à disposition des véhicules de sa gamme. Il profite du changement d'année pour renouveler la flotte.
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