La baromètre publié par le JDD montre toujours un bel attachement des Français à la marque au lion, tandis que Renault et Citroën remontent: qui a dit que les Français n'aimaient plus l'automobile?
Lors de son "capital market day" de mardi dernier, Luca De Meo a sorti de sa poche son atout premium : la petite marque Alpine, à qui il prédit des lendemains qui chantent, et un futur béni de marges sonnantes et trébuchantes. Un atout maître ou un coup de bluff ?
Le vaste plan de réorganisation de Renault peine pour le moment à séduire les analystes, qui redoutent sa complexité.
Le 400ème exemplaire de la Bugatti Chiron vient de sortir de l'usine de Molsheim. Il n'en reste plus que 100 avant la fin du modèle, mais ils sont déjà tous vendus depuis longtemps.
Alors que la maison mère de Volvo vient de nouer un grand partenariat avec Renault, le constructeur suédois annonce qu'il ne veut pas contribuer au développement de ses moteurs thermiques. Il veut se concentrer exclusivement sur l'électrique.
Les berlines compactes, qui ont toujours fait office de moteur de croissance pour le marché européen, sont désormais nettement devancées par les SUV. Faut-il s'inquiéter pour l'avenir de nos Golf, Astra et autres 308?
Direct - Renault fait sa "Révolution", se divise et s'allie avec les Chinois de Geely
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C'est officiel : Renault va se diviser en deux entités, Ampère pour les voitures électriques et Power pour les véhicules thermiques et hybrides. Cette dernière entité sera partagée à 50-50 avec les Chinois de Geely. Après la "Renaulution", voici la "Révolution". le directeur général Luca de Meo la détaille en direct dans sa conférence de presse "Capital Market Day".
La Renaulution, la vraie, aura lieu demain 8 novembre. Au soir de ce « capital market day », on saura si Luca de Meo a réussi son pari : sauver la maison Renault, pas moins, en la divisant par deux. Le prix à payer pour que le losange survive dans la grande bourrasque qui risque de faire sombrer nombre de navires de l’automobile. Le prix à payer aussi pour vivre sans l’Alliance Renault Nissan qui, à l’issue de ces prochaines journées lourdes de conséquences ne pourrait plus être qu’un simple échange d’actions minimalistes comme il y en a tant.
Dans un concert politique européen à peu près unanime pour saluer l'échéance de 2035 et la bascule vers le tout électrique, le discours du commissaire européen détonne. Il demande aux constructeurs de ne pas abandonner totalement le thermique et compte sur la clause de revoyure en 2026 pour, peut-être, freiner le mouvement. Vraie volonté de changement ou gesticulation ?
Interrogé par nos confrères du Parisien, un haut fonctionnaire de Bercy s’épanche : si la part du superéthanol continue de croître, le phénomène va représenter un problème pour les finances publiques, tout comme la voiture électrique. Et pour y remédier, une seule solution : la taxation.
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