Certains constructeurs pourraient sortir de la crise plus facilement que d'autres. Paradoxallement, ce sont les petites marques proposant des autos accessibles qui pourraient bien tirer leur épingle du jeu. Le premium, lui, pourrait nettement plus souffrir, la faute à un possible "gel" des investissements chez les gestionnaires de flottes.
Même quand elle est contrainte de jouer à domicile, l'équipe de Caradisiac fait en sorte de vous délivrer les meilleurs contenus possibles. Cela passe notamment par des interviews d'un nouveau style, avec aujourd'hui l'un des plus importants distributeurs automobiles multimarques de France. Ensemble, nous avons bien sûr parlé d'un présent difficile, mais aussi et surtout d'un avenir prometteur.
Les ventes de voitures d'occasion ont baissé de 35 % en mars, à cause évidemment des mesures de confinement. Mais la chute est bien moins importante que celle pour les voitures neuves.
Après plus de dix ans de bons et loyaux services, il est temps pour la Giulietta de prendre, enfin, sa retraite. Cela arrivera cette année, et le remplaçant n'est autre que le très attendu Tonale, le premier SUV compact d'Alfa Romeo.
Mercedes n'a pas attendu la fin du confinement pour annoncer la réouverture d'une bonne partie de son réseau français liée aux vans et utilitaires. Mais la marque précise que les interventions seront uniquement consacrées aux "activités essentielles".
C'était attendu : les ventes de voitures neuves se sont écroulées en mars, suite à la fermeture des concessions au cours du mois. Aucune marque n'est épargnée. Opel baisse carrément de 90 % !
L'arrivée d'un gros investisseur et de rentrées d'argent n'assure pas un avenir serein à Aston Martin sur le très long terme. La marque juge que seuls les 12 prochains mois sont clairement prévisibles, mais qu'il faudra ensuite faire en sorte de capitaliser sur ce rebond financier.
Hier, le ministre de l'Industrie a confirmé que 98,6 % des entreprises industrielles majeures ont repris leur activité. L'Empire du Milieu tourne à nouveau (presque) à plein régime avec, notamment, une reprise quasiment totale du secteur automobile.
PSA programme tout doucement la reprise de l'activité dans les usines, mais ce n'est pas du goût des syndicats qui voient là une grande précipitation en temps de crise sanitaire. Les discussions entre la direction et les syndicats promettent déjà d'être compliquées pour cette fameuse reprise.
Un analyste annonçait la semaine dernière que le groupe Volkswagen perdait plus de 300 millions d'euros par jour en pleine crise de coronavirus. Le grand patron du groupe, Herbert Diess, a confirmé qu'une semaine équivalait en ce moment à environ 2 milliards d'euros de dépenses... sans retours, ou presque.
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