Les groupes Renault et Nissan, accompagnés de Mitsubishi, ont écoulé 10,76 millions de véhicules dans le monde en 2018. Le groupe Volkswagen a pointé à 10,83 millions, en comptant ses poids lourds.
Malgré un âge canonique, la petite Fiat a réalisé sa meilleure année sur le Vieux Continent en 2018, avec pas loin de 200 000 exemplaires écoulés.
La rumeur de l'association entre BMW et Mercedes pour réduire les coûts et pouvoir investir dans l'électromobilité n'est finalement pas le seul grand changement potentiel de l'automobile allemande. Audi pourrait en effet supprimer 14 000 postes d'ici 2022 pour économiser 15 milliards d'euros. Toujours dans le but de dégager des fonds pour d'autres domaines que la conception des autos à proprement parler.
En cas de changement d'avis après la livraison ou de revente en occasion, Mercedes propose aux propriétaires de certains modèles d'acheter, via le système multimédia, certaines options qui doivent normalement être cochées au moment de la commande chez le concessionnaire.
Serait-ce le début du divorce entre Panasonic et Tesla ? La firme japonaise spécialisée dans l'électronique vient en effet de signer officiellement un accord avec Toyota pour la création d'une coentreprise. Panasonic est pourtant le fournisseur historique de batteries de Tesla.
Subaru est le paradoxe de l'automobile pour un Français : presque inconnu dans son pays, mais pourtant un constructeur très performant à l'international. Le contraire exact, en fait, de PSA, pour ne citer que le groupe français.
Si les ventes totales sont en hausse de 3 %, à 3,9 millions de véhicules, la marque Renault souffre. Le bilan est sauvé par Dacia et la prise en compte de marques chinoises.
Evergrande Group, déjà actionnaire majoritaire de Faraday Future, vient d'acquérir 51 % des parts de NEVS, qui détient Saab.
Une fois la production lancée, Tesla a pu engendrer des quantités importantes de livraison de la nouvelle Model 3 aux Etats-Unis. A tel point que l'auto s'est retrouvée propulsée à la première place des ventes de voitures premium au pays de l'oncle Sam.
Depuis 1985, la part des voitures à transmission arrière dans les ventes en neuf en Suisse n'a cessé de tomber. Pour arriver, en 2018, à un niveau historiquement bas, qui montre que le peu de "propulsions" qui restaient se fait manger par les SUV à quatre roues motrices.
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