A la suite de la publication de notre article "Le stationnement des deux-roues sera-t-il payant à Paris dès 2018 ?", nous avons d'abord reçu des précisions de Christophe Najdovski, l'adjoint à la maire de Paris, Anne Hidalgo, en charge des Transports, lesquelles sont à retrouver sur la même page que notre papier. C'est aujourd'hui au tour de la ville de Paris de nous faire parvenir un verbatim, que nous publions ci-dessous. Caradisiac maintient toutefois que la table ronde organisée au salon Parkopolis la semaine dernière donnait vraiment l'impression que le stationnement payant des deux-roues dans la Capitale, même si la décision politique n'est effectivement pas encore prise, pourrait bien devenir une réalité d'ici peu. Pour finir, cette option restera-t-elle définitivement, ou au moins encore de longues années, dans les tiroirs ? L'avenir nous le dira...
Il y a longtemps que cela aurait dû être fait mais il a fallu attendre un scandale mondial pour que les choses bougent : les propriétaires de l'UTAC, le centre français d'homologation des véhicules neufs (et des tests de consommation...) est à vendre par ses actionnaires qui ne sont autres que les constructeurs automobiles.
60 % des 18/24 ans ont le permis, une part en baisse de cinq points par rapport à 2013. Ceux qui ne l'ont pas encore évoquent les prix élevés, le manque de temps ou encore la peur de l'échec.
Avec 3 477 tués à déplorer en 2016, la mortalité routière reste quasi stable (+0,5 %) par rapport à l'an dernier, selon les chiffres définitifs rendus publics ce lundi matin par la Sécurité routière. Mais ce bilan reste moins bon que ce qui avait été dans un premier temps annoncé.
Les procès surgissent de tous les horizons à l'encontre du groupe Volkswagen dans l'affaire dieselgate, mais aucun, jusqu'à présent, en Europe, n'avait donné raison aux plaignants. La donne a toutefois changé puisque Volkswagen a décidé de ne pas faire appel d'une décision d'un tribunal allemand, favorable aux plaignants. Le groupe va donc racheter les véhicules des propriétaires concernés. Mais...
Le Royaume-Uni veut dégoûter un peu plus les automobilistes dans les grandes villes et plus particulièrement à Londres, où la municipalité réfléchit à instaurer une taxe au kilomètre au sein de la ville pour les véhicules qui y circulent.
C’est le genre d’analyse qui vous fait instantanément comprendre comment un jeune constructeur endetté comme Tesla qui produit ses voitures au compte-gouttes arrive à être plus puissant en bourse que les institutions automobiles. Ces dernières ont beau être des géants industriels aux ramifications multiples, le temps qui passe et les échéances qui arrivent leur donnent de plus en plus l’aspect de dinosaures à la fin inéluctable. Et les places financières pourraient bien les pousser dans leur tombe.
L'étude d'un assureur en ligne montre qu'un tiers des clients de ces autos a moins de 32 ans. Une majorité des conducteurs sondés a indiqué faire l'objet d'insultes régulières quand ils sont au volant.
Une fois n'est pas coutume, les prix aux barrières pourraient augmenter moins vite que prévu entre 2019 et 2021 ! Car ces augmentations allant de 0,1 à 0,4 % par an, en plus des hausses annuelles classiques liées à l'inflation, et qui devaient s'imposer pour compenser et donc financer le plan de modernisation des autoroutes décrété par le précédent gouvernement, ne sont pas justifiées. Pour faire court, l'usager n'a pas à payer autant ! C'est en tout cas l'avis de l'Arafer, l'autorité publique indépendante faisant office de régulateur sur le secteur, a-t-elle fait savoir lundi soir. Le gouvernement actuel entendra-t-il ses recommandations et révisera-t-il sa copie ? Cela reste toutefois à confirmer…
Exclusif – Radars – Dénonciation des salariés par les patrons : l'État accusé de fraude à la loi !
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Les nouveaux PV pour "non désignation", qui affluent depuis quelques semaines dans les sociétés, après que des excès de vitesse relevés à l'encontre de véhicules de leur flotte ont été payés spontanément (sans désignation, sans contestation), ne respectent pas le texte entré en vigueur au 1er janvier dernier. C'est ce qui s'appelle une "fraude à la loi", dénonce l'avocate Caroline Tichit. "Le procédé est tellement honteux" qu'il lui paraît important d'informer le plus grand nombre. Pour elle, il ne fait aucun doute que ces nouvelles "poursuites telles qu'elles sont conduites doivent cesser au plus vite, car elles sont infondées et illégales". Et l'un des leviers pour y parvenir, c'est bien de les contester !
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