Le supplément à débourser pour rouler cheveux au vent est de 6 200 euros, proche de ceux enregistrés chez Audi et BMW. Il se justifie par un renforcement de la rigidité de la coque parfaitement mené, et plus encore quand on sait que la capote du cabriolet CLK est constituée de 830 éléments assemblés à la main dont le montage se décompose en 550 opérations individuelles.
La capote -proposée dans trois coloris- entièrement automatique du cabriolet s’ouvre en un seul geste : il suffit en effet d’appuyer sur le commutateur sur la console centrale ou d’utiliser la télécommande intégrée à la clé électronique. L’opération dure 20 secondes et peut se faire en roulant à condition de ne pas dépasser 8 km/h. La capote est en tissu triple épaisseur. Le revêtement rembourré en non-tissé de l’épaisseur du milieu est constitué de six couches superposées pour une épaisseur totale de 25 mm et recouvre (comme le ciel de pavillon qui forme la troisième épaisseur) toute la surface du pavillon ainsi que la face intérieure des montants de custode et les zones situées à proximité de la lunette arrière afin de garantir une bonne isolation thermique. Voilà qui permet d’utiliser le cabriolet CLK été comme hiver. En revanche, les bruits de vent deviennent assez nettement perceptibles au delà de 150 km/h comme sur le Cabriolet Audi. Même si c’est mieux que sur le BMW Série 3, les remous aérodynamiques sont donc bien plus audibles qu’à bord du SLK avec son toit en dur. A découvert, le filet pare-vent en série (sauf 200K : 365 €) protège parfaitement les occupants à l’avant jusqu’à des vitesses largement prohibées.
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