La palette de motorisations débute avec l’antique et gourmand bloc essence 1.6 MMPI 85 ch. Essentiellement destiné aux pays émergents, il a le mérite d’offrir un prix d’attaque sous les 9 000 € (version VU). En dehors de ce fait précis, il ne présente auc
nous aurons consommé à peine 5,8 l/100 km durant notre essai
Le Dokker reprend la plateforme raccourcie du Lodgy. À savoir une base de Logan et un train arrière de Kangoo avec une barre antidévers adaptée à la charge. Ainsi, l’écart entre le roulis du véhicule à vide et en charge est quasiment inexistant, ce qui garantit un comportement routier sain et sans surprise dans toutes les configurations, voire même confortable ! Les suspensions sont souples et absorbent les irrégularités sans trop de difficultés.
Le Dokker braque court, et c’est plutôt une bonne nouvelle pour les pros. La position de conduite surélevée et l’implantation du volant façon camionnette nous rappellent qu’on est réellement à bord d’un utilitaire. Dynamiquement, rien de comparable au Kangoo. Le Dokker vit sa vie doucement. Il ne faut pas trop le brusquer. Mais rien de dangereux pour autant. Au contraire, il est plutôt sain et prévenant dans ses réactions. D’ailleurs Renault l’a doté de 4 airbags de série et en option d’un ESP, histoire de rassurer les petites familles. Comme le Lodgy, le Dokker ne passera vraisemblablement pas aux tests Euro NCap.
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