La première chose que l’on remarque lorsqu’on découvre cette voiture est sa peinture, qui rend hommage aux dauphins. Ce choix est loin d’être innocent puisque David est purement et simplement passionné depuis son plus jeune âge par ces mammifères. Ces animaux font partie de sa vie quotidienne et ils sont présents un peu partout dans sa maison.
Une autre particularité de la teinte est sa provenance : il s’agit d’un noir Porsche mêlé de paillettes et agrémenté de décorations réalisées à l’aérographe.
Pour concevoir ce projet, David s’est tout d’abord attaché à la personnalisation de la carrosserie. Première opération : le lissage intégral. Ainsi, les poignées de portes et du coffre, les baguettes de protection et les répétiteurs de clignotants latéraux ont disparu.
Parallèlement, le capot avant recevait une prise d’air Ace Tuning et la calandre d’origine était remplacée par un modèle provenant de chez Kustomorphose. Les phares sont, pour leur part, associés à des paupières maison.
Ensuite, quand le regard descend vers le bitume, on est tout de suite captivé par l’imposant pare-chocs avant et ses grosses ouïes grillagées qui donnent à l’Astra un aspect massif et agressif encore plus impressionnant que les productions de l’Opel Performance Center à l’origine de tous les modèles sportifs de la marque filiale de GM.
Cette touche de sportivité se retrouve aussi au niveau de la poupe de la voiture qui hérite d’une jupe intégrant les deux sorties d’échappement et d’un aileron Carcept.
Enfin, remarquez la découpe mentionnant le modèle de la voiture inscrit dans les bas de caisse, les classiques rétroviseurs M3 moulés qui accueillent les rappels des clignotants à la façon des Mercedes les plus récentes et les feux arrière cristal que l’on retrouve désormais sur la plupart des réalisations.
Au final, cette décoration très en vogue outre-Atlantique propose un beau contraste. La finesse du trait, la qualité du dessin et les coloris employés contrastent avec la peinture noire tout en apportant un calme et une sérénité qui tranchent avec l’esthétique globale de la caisse, plutôt radicale. On ne peut être que charmé et on se prend même à fredonner la Bande originale du Grand Bleu de Luc Besson… c’est pour dire.
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