Boxster 2.5 ou 2.7
Homogène, polyvalent, pratique (2 coffres, capote électrique de qualité) et rigoureux, le Boxster apparu en 1997 avec un 2.5 litres jugé très sage est passé en octobre 1999 à un 2.7 qui apporte un mieux perceptible sur tous les registres (6 cylindres à plat central arrière, 2687 cm3, 220 ch à 6400 tr/mn, boîte manuelle 5 vitesses ou automatique 5 vitesses Tiptronic, direction à assistance constante, 1260 kg). Mises à part quelques lacunes d'équipement et une finition pas vraiment comparable à celle d'un cabriolet 911 type 996 (certes deux fois plus cher), c'est le bonheur pour deux.
Boxster S
Aussi rationnel et confortable que la version de base, tout en se montrant très performant, cette version vitaminée apparue à la fin de 1999 a tout pour plaire. Ou presque, car l'équipement est incomplet pour le prix demandé. Moins démonstratif qu'un roadster BMW Z3, son comportement est néanmoins plus efficace malgré l'absence d'un véritable autobloquant. Encore rare en occasion, on a aperçu quelques exemplaires à faible kilométrage sous le seuil des 300 000 francs.
(Boxster : 6 cylindres à plat central arrière, 3179 cm3, 252 ch à 6250 tr/mn, boîte 6 vitesses ou automatique 5 vitesses Tiptronic, direction à assistance constante, 1295 kg).
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