Mark Webber a souffert une nouvelle fois d’un SREC défaillant lors de la deuxième séance d’essais libres du GP de Monaco. Adrian Newey, directeur technique de Red Bull, confirme être ennuyé par le développement de ce système.


Depuis le début de la saison, le point faible de Red Bull reste le SREC, souvent défaillant sur les RB7 de Sebastian Vettel et Mark Webber. L’Allemand avait d’ailleurs souffert d’une défaillance de ce système lors du GP d’Espagne quand Lewis Hamilton (McLaren) le pourchassait.

Adrian Newey confirme éprouver des difficultés à mettre au point un SREC fiable. « Le SREC est un projet compliqué qui réclame beaucoup de recherches et de développements », commente le directeur technique du Taureau Rouge. « Le package que nous avons choisi pour ce système, basé sur l’ancien système Renault Marelli que nous possédons depuis quelques années, a été modifié pour correspondre à la monoplace, mais il rencontre certains problèmes. »

Adrian Newey regrette l’introduction du SREC, qui n’est pas la spécialité de l’écurie autrichienne. « Ce n’est pas facile d’éradiquer complètement le problème », ajoute Adrian Newey. « Nous sommes toujours en train d’apprendre. Ce n’est pas notre point fort, nous sommes davantage des constructeurs de châssis aérodynamiques que des fabricants de SREC. C’est assez difficile de réagir rapidement à un souci de ce type. »



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Le SREC : Le point faible de Red Bull