2. Volkswagen Amarok (2023) - Sur la route : toujours très ferme
L’Amarok Aventura de notre essai disposait du six cylindres en V de 240 chevaux développant 600 Nm de couple. Et bien que cet Amarok arbore le nom V6 TDI, c’est bel et bien un moteur Ford qui est sous le capot. Idem pour la boîte automatique à 10 rapports, pur produit Ford. À l’usage, tout est bien agréable. La puissance du moteur comme l’efficacité et l’absolue discrétion de la boîte rendent la conduite de cet imposant Amarok très facile, fluide et sans contrainte aucune. Notre consommation, sur les quelques centaines de kilomètres parcourus, s’est affichée à un peu plus de 10 litres, ce qui reste raisonnable pour un engin de ce poids.
Volkswagen voit dans ce véhicule un pick-up au confort de SUV. Certes, cet Amarok Aventura bénéficie d’un équipement de haut niveau et d’un réel agrément général. Mais il reste aussi… un pick-up. Fermement suspendu, l’Amarok a une tendance à sautiller un peu tout le temps si le revêtement n’est pas parfaitement lisse. Les imperfections et irrégularités sont clairement bien ressenties. Et c’est là où l’on se dit que cet Amarok est tout de même un utilitaire, fait pour rouler en charge. Autre grief, la direction nous a semblé un peu floue. Sur routes sinueuses, c’est un peu pénible car le véhicule semble avoir un micro temps de réaction entre le mouvement donné au volant et la prise de position sur la route.
Apte aux terrains difficiles
Pick-up à transmission intégrale permanente, l’Amarok ne saurait craindre les conditions de route difficiles ou les terrains escarpés, le conducteur pouvant être épaulé par toute une série de modes de conduite, identiques à celle du Ford. Ce double cabine affiche un angle d’attaque de 30°, un angle de fuite de 26° et un passage à gué de 80 centimètres. C’est mieux que sur le modèle précédent.
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