
Ils sont alarmistes et, entre la réduction des émissions à marche forcée imposée par l'Europe et la transition vers l'électrique, les constructeurs prévoient 10 années difficiles, voire impossibles pour certains. Leur porte-parole européen, Carlos Tavarès, évoque même une période "darwinienne" ou seuls les plus forts résisteront au cataclysme. Réalisme ou politique de la peur pour obtenir des aides gouvernementales ? Les deux mon général.