La mise en place des Zones à Faibles Emissions ne pourra se faire que progressivement, tant elle risque de cristalliser les rancoeurs de ceux qui n'ont pas les moyens ou l'envie d'acheter un véhicule récent.
Vitrine des constructeurs, le prochain Mondial de l’Auto de Paris ouvrira ses portes dans quelques jours. L’occasion de découvrir les nouvelles gammes électriques de nombreuses marques, et leurs tarifs de plus en plus premiums. Une inflation qui s’éloigne petit à petit de la réalité du marché automobile français, comme en témoigne une récente enquête réalisée par OpinionWay pour Aramisauto.
Et si habiter au cœur de Paris était finalement moins nocif pour la santé que de vivre ailleurs en Île-de-France ? À travers une étude, Airparif affirme que les particules ultrafines sont plus nombreuses à proximité de certains axes routiers franciliens qu’en plein centre de Paris.
Alors que l'existence même des ZFE en ville fait toujours débat, certaines collectivités vont au secours des propriétaires de voitures bientôt interdites d'y circuler. La solution ? Une simple conversion à l'éthanol E85.
Occupé sur d’autres fronts, le Gouvernement risque également de devoir gérer le cas des ZFE (Zones à faibles émissions) dans les prochaines semaines. Poussée par l’association « 40 millions d’automobilistes », une proposition de loi a été récemment déposée par la députée RN Anne-Sophie Frigout pour supprimer ces zones.
À l’occasion de son projet de loi de finances 2023, l’État a dévoilé quelques-unes des mesures liées à l’automobile prévues pour l’année prochaine avec comme objectif la décarbonation des mobilités. Développement des ZFE, bonus écologique, prime à la conversion et leasing pour les voitures électriques sont au programme.
En matière de réduction de la pollution de l’air, l’État n’agit pas assez vite, et va devoir, de nouveau le payer cher. Reçu par le Conseil d’État ce lundi, le rapporteur public a ainsi estimé que l’État avait échoué à renforcer sa politique climatique afin d’améliorer la qualité de l’air dans les villes, et a recommandé une nouvelle condamnation à verser 20 millions € supplémentaires.
À partir de ce jeudi 1er septembre 2022, de nombreuses métropoles mettent en application leur « Zones à faibles émissions ». Une nouvelle contrainte pour des millions d’automobilistes.
On vous fait un récapitulatif des bonnes et des (très) mauvaises nouvelles pour les automobilistes français en cette rentrée 2022. Elle ne sera malheureusement pas facile en raison d'un contexte international toujours délicat.
L’automobile vit une transition violente et intense. Les ZFE (Zone à Faible Émission) seront interdites à tout véhicule à énergie fossile et donc moteur thermique. Dès 2024, les véhicules Crit’R 2 seront bannis et en 2030, ce sont tous les véhicules non électriques. À ces ZFE s’ajoutent le coût prohibitif du carburant et l’inflation générale des produits de consommation. Alors voici une sélection d’alternatives électriques dont le coût d’utilisation est faible. Le salut des personnes allergiques aux transports en commun qui doivent se rendre en métropole quotidiennement. Une liste qui met en avant le coût aux 100 km.