Dans ses perspectives pour 2025, l'Avere-France insiste sur l’urgence d’électrifier les flottes automobiles et prône l’exemple de la Belgique. Cela profiterait à l'ensemble du parc national.
Si le marché de l’occasion reprend des couleurs, toutes les catégories de véhicules ne sont pas logées à la même enseigne. Celles qui profitent de la vignette Crit’Air 1 et fonctionnant aux watts sont privilégiées.
La mise en place des zones à faibles émissions est tellement complexe qu'elle en devient comique. C'est surtout l'exemple d'une difficulté française à coordonner des politiques locales et nationales, et à sortir des impasses administratives. Du fait de cette complexité, même la maréchaussée n'y retrouve pas ses petits.
A partir du 1er janvier 2025, vous n’aurez plus le droit de circuler dans les ZFE de Paris, Montpellier, Lyon et Grenoble avec votre voiture arborant une vignette Crit’Air 3. Soit des véhicules pas si anciens que ça car datant au maximum d’avant 2011 pour les diesels et d’avant 2006 pour les modèles à essence.
Louis-Cyril Tharaux, rédacteur pour les rubriques Rétro et Faits-divers, vous partage ses impressions sur l’année écoulée et sur celle à venir.
L'INFO DU JOUR. A partir du 1er janvier prochain, les voitures classées Crit'Air 3 seront interdites de circulation dans un périmètre délimité par l'A86. Pour autant, certaines tolérances s'appliqueront, et c'est heureux dans un contexte de rabotage des aides à l'achat de véhicules dits propres.
Sans surprise, toutes les aides à l'achat des voitures écolo vont être sévèrement rabotées l'an prochain.
L’échéance a été maintes fois reportée, mais cette fois-ci, elle va s’appliquer. À partir du 1er janvier 2025, la ZFE-m du Grand Paris va se durcir en interdisant les véhicules Crit’Air 3, c’est-à-dire les essence d’avant 2006 et les diesel d’avant 2011 d’y circuler.
L’Eurométropole de Strasbourg assouplit son calendrier concernant le déploiement de sa ZFE. Les véhicules Crit’Air 3 pourront y circuler jusqu’en décembre 2026.
Lyon doit théoriquement interdire l’accès à son centre-ville à environ un quart de ses automobilistes à partir de janvier 2025 en excluant les vignettes Crit’Air 3. Sachant que ce sont surtout les plus pauvres dont on parle, la mesure paraît très risquée socialement.