Après l’euphorie de l’année dernière, le marché de l’automobile d’occasion fait maintenant grise mine. Depuis le début de l’année, la baisse du nombre de voitures d’occasion immatriculées en France est continue. Une situation directement liée au marché du neuf.
Le réseau de centres autos poursuit sa diversification. La nouvelle étape consiste à proposer à la vente des véhicules de seconde main ainsi que des 0 km.
Les grands distributeurs veulent en terminer avec les occasions remises en état par chacun de leurs points de vente et industrialisent massivement ce processus. L’objectif est de faire baisser les coûts unitaires, mais également de gagner du temps.
Le label occasion des marques généralistes du groupe franco-italien veut s’imposer comme une marque à part entière. Il doit donc développer son offre de produit.
La location Longue Durée (LLD) de véhicules de seconde main continue son développement avec, cette fois-ci, l’arrivée d’un acteur majeur de la LLD… de neuf.
Depuis le début de la crise du Covid et les confinements qui l’ont accompagnée, le marché de la vente en ligne de voitures d’occasion se développe fortement en France, attisant l’appétit de nouveaux venus.
Garantir durant plusieurs années ses véhicules est devenu un leitmotiv pour les labels occasion des principaux constructeurs. Au tour de Volvo d’entrer dans la danse.
Les synergies entre les ex-groupes FCA et PSA, devenus Stellantis, se poursuivent. Dernière évolution en date, le changement de label occasion pour Abarth, Fiat et Jeep.
Sobrement baptisé Toyota Occasions, le programme du géant japonais évolue pour mieux s’adapter à un marché en pleine transformation. Ce sera 3 ans de couverture pour tous les véhicules de moins de 8 ans. Pas mal !
Ce label, qui regroupe les véhicules d’occasion vendus par les concessionnaires Seat, Skoda et Volkswagen, devrait atteindre les 67 000 immatriculations en 2021.