Emmanuel Macron veut mettre en place un leasing de voitures électriques soutenu par l'État afin de permettre aux plus modestes de passer à l'électrique.
Les déclarations de patrimoine des candidats viennent d'être dévoilées. On est allé voir la case automobile… et on n'a rien trouvé de fou !
Pour ne pas perdre de points suite à un excès de vitesse, des petits malins indiquent que le conducteur était à ce moment le Président de la République !
Sur le sujet autoroutier, régulièrement médiatisé, il est pour le gouvernement urgent de ne rien faire. À l’entendre, la nationalisation des sociétés d’autoroutes (ou la rupture anticipée de leurs contrats) coûterait trop cher à l’État, de l’ordre de 40 à 50 milliards d’euros, alors qu’il suffit de patienter jusqu’à la fin des contrats avec Vinci, Eiffage et Abertis pour pouvoir reprendre la main sans rien avoir à débourser. Vrai ? Pas du tout… Retour sur cette problématique pour essayer d’y voir plus clair.
Des Delage, Voisin, Citroën, et même un « cabriolet recouvert de cuir de serpent » : Joséphine Baker, panthéonisée cette semaine, vivait l’automobile comme une fête.
Lors de la présentation du plan d'investissements pour relancer l'innovation dans le pays, Emmanuel Macron a fait un constat sévère sur la situation de l'industrie auto française !
Présidentielle 2022 - Anne Hidalgo: "je suis pour la baisse de la vitesse sur autoroute"
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Fin du faux suspense: interrogée ce matin par Jean-Jacques Bourdin, la maire de Paris et candidate à la présidentielle 2022 s'est dite favorable à une baisse de la vitesse sur autoroute.
Le prix du carburant ne cesse de grimper, et avec lui la grogne des usagers. Cela favorise certes l'essor des motorisations électrifiées, moins gourmandes en carburant, mais plombe dans le même temps le budget de la majorité des automobilistes, pas assez fortunés pour acquérir un véhicule récent et "propre". De quels leviers d'action les pouvoirs publics disposent-ils?
À quelques mois de l'élection présidentielle, Emmanuel Macron semble vouloir ménager les usagers de la route.
Le Plan de relance autoroutier (PRA), négocié en 2015 entre l'État et les sociétés concessionnaires d'autoroutes (SCA), et qui prévoit pour 3,27 milliards de travaux en échange d'une prolongation des contrats de concession, aurait déjà coûté 600 millions d'euros de moins que prévu… au profit des SCA et donc à la défaveur de l'État ! C'est ce qui ressort du rapport publié par le régulateur du secteur la semaine dernière.